Le déchirement

 ... essayons de comprendre ....
Accepter le départ de quelqu’un, accepter sa mort, ne va pas de soi !
Le deuil n’est pas une maladie, il accompagne la mort... Chacun de nous le rencontre sur son chemin, un jour ou l’autre. Il touche notre être tout entier à cause du lien personnel avec la personne décédée plus particulièrement quand il s’agit de la perte d’un enfant. Oui la perte d'un être cher est une cruelle épreuve …. 
Jean nous donne de précieux conseils sur la conduite à tenir en pareille circonstance : par des mots d'espérance, de réconfort, par un regard d'amour sur soi, sur l'autre  ... essayons de comprendre, de faire comprendre que le défunt est allé prendre sa place dans la Jérusalem Céleste... 
Oui nous nous retrouverons à la table du Seigneur ! Croyons le fortement !

Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste
page 86 : Le déchirement – message du 18 octobre 2005 - 

" L’humanité est engloutie dans le monde des continuités, de la succession ininterrompue des jours, de la solidarité des instants et de tout leur enchaînement. Mais, lorsqu’il y a rupture dans cette vie quotidienne, tout homme éprouve alors le sentiment d’un effondrement insupportable, d’un désordre, d’un malentendu et même d’une injustice.
Vous avez pu constater que de nombreuses personnes, même croyantes et pratiquantes, se remettent difficilement de la perte d’un être cher. Il est normal de s’attacher aux choses, de leur donner du prix. Le deuil peut être également la perte de l’amour d’un être cher, d’un chien, d’un chat, d’un objet et aussi la perte d’un emploi. Quand vous perdez un parent ou un ami, c’est une partie de vous que vous perdez, mais si vous êtes croyants et encore mieux pratiquants vous avez l’avantage de savoir que vous le retrouverez dans l’éternité.
Perdre quelqu’un est une coupure, une séparation d’une partie de vous-même. Devant une personne en deuil vous vous sentirez indiscutablement gêné. Vous ne savez pas ce que vous allez lui dire et comment vous allez l’accompagner, surtout si elle ne croit pas en Dieu. Votre tâche ne sera pas facile, car elle aura tellement de peine, tellement de tristesse qu’elle ne parviendra pas à exprimer son désarroi.
Faire son deuil c’est se dégager de la mort de ses proches et en principe c’est plus facilement réalisable pour le croyant.
Le deuil n’est pas une maladie mais un événement de la vie.
Il faut rester le moins possible dans le deuil.
Pardonner ....
En particulier, pensez que la personne aimée rejoint au Ciel, dans l’amour, ses parents et ses amis. Dans la vie, soyez cette présence accueillante, non envahissante sur laquelle l’endeuillé peut compter, avec qui il peut s’exprimer.
Il est essentiel de demander à cette personne de pardonner à celle qui est décédée, d’être partie et de l’avoir abandonnée en quelque sorte. Demander pardon à celle qui est morte sera une aide efficace pour la fin d’un deuil. Cela enlève également la culpabilité qu’il peut y avoir surtout si vous avez été parfois injuste à l’égard du disparu.
Quand vous subissez un deuil, regardez l’horizon de la vie de l’être qui est cher, avec vos yeux et selon son point de vue. Et dans cette montée du passé en vous, dans ce travail de mémoire, vous retrouverez l’instant où le défunt vous est apparu le plus lui-même. Vous reverrez celui qui est parti vous préparer une place et, pour vous, ce sera une explosion de bonheur. Terminer son deuil c’est penser avec joie à la personne défunte pour vivre dans son cœur et tisser de nouveaux liens avec elle en attendant de la retrouver à la table du Seigneur. 
Le plus terrible événement est la mort d’un enfant, c’est l’épreuve la plus cruelle, la plus révoltante et la plus désespérante qu’un être humain puisse ressentir. Dans ces moments douloureux, ces personnes en deuil peuvent perdre toute confiance dans la vie et même toute confiance en Dieu.
La vie sans leur enfant vivant ne les intéresse plus...
Et ils n’ont souvent que faire d’un Dieu qui leur paraît impuissant face à la mort de leur enfant !
Pour être en accord avec Dieu, c’est à ce moment que vous devez agir.
Votre devoir est de les convaincre en agissant au bon moment et avec beaucoup de délicatesse.
Faites-leur comprendre que leur enfant ne peut être perdu, même s’il n’a pas été baptisé, même s’il a été entraîné à faire quelques bêtises : c’est la société entière qui est responsable et il faut toujours compter sur la miséricorde de Dieu.
... tous destinés à la Jérusalem Céleste ...
Cet enfant, qui n’est pas perdu éveillera chez ses parents des trésors de douceur et de tendresse qu’ils ne se connaissaient pas. Qu’ils soient persuadés que leur enfant verra Dieu dans quelque temps et qu’en ce moment, il est heureux comme jamais il ne l’a été. Il est mort à la terre, mais l’amour fort qu’il suscite à ses parents sera encore plus vivant ...

De mille et une façons, l’amour de ses parents et de ses frères et sœurs lui rendra une place dans le cercle des vivants.
Oui, vous êtes tous destinés (si vous n’avez pas fait un pacte avec le Griffu) à l’éternité de la Jérusalem céleste où existe le véritable bonheur que vous ne pouvez connaître sur terre."

Jean Messager de la Lumière "

Le chemin de la transformation

Jean, en ardent messager, nous donne quelques conseils pratiques pour «évoluer en bon chrétien » : prières, Eucharisties, Bible, Saintes Écritures, foi catholique persévérante,... agir saintement pour la Gloire de Dieu. Notre évolution spirituelle se réalise au cours de nos différentes rencontres et principalement quand nous croisons ceux qui ont un parfum de Jésus  … A chaque fois que nous glorifions Dieu nous Lui laissons un peu plus de place dans nos vies, sur la Terre, au milieu de nous et autour de nous …C'est ainsi que Jésus peut agir et le Père aussi à travers Lui … Alors Gloire à Dieu ! (Père A.)
Laissons Dieu guider nos vies, nos cœurs, nos âmes, nos rencontres, tout ce que nous avons à vivre  ... pour bien rester sur le chemin de la transformation et être des porteurs d’espérance !!!!

Livre Tome 7 : Pour bien passer la porte du Ciel 
Page 51 : Le chemin de la transformation – message du 25 octobre 2007 - 

Jean chapitre 11, verset 40
" Devant un miroir, votre image ne représente pas la réalité de ce que vous êtes réellement, mais seulement une reproduction de vos formes. En revanche, si vous regardez la face du Seigneur avec foi, c’est tout autre chose. Par la lecture de l’Écriture Sainte, vous comprendrez encore mieux la gloire du Seigneur !
Souvent les hommes et même de bons chrétiens déplorent le manque de progrès de leur foi ! Pour évoluer, en plus des prières et Eucharisties, ils devraient consacrer plus de temps à lire et méditer la Bible, en plus de leurs activités professionnelles qui parfois sont si prenantes et les déstabilisent. De plus ils se trouvent détournés par les médias et en particulier par la télévision qui est, comme internet, l’œil du démon s’ils n’y prennent pas garde....
Et c’est ainsi qu’ils risquent d’être influencés dans leur manière de vivre et de penser à la réalité de l’existence car ils ne prennent pas un peu de leur temps pour Dieu, ne serait-ce que par des prières ou la lecture des Saintes Écritures.
Il serait si bon en ces temps qui seront de plus en plus perturbés que des hommes et des chrétiens en particulier se métamorphosent en phares d’amour pour éclairer l’humanité des rayons bienfaisants de la Parole de Dieu. Cela afin qu’elle réagisse face aux dangers qui seront provoqués par la folie des hommes qui polluent autant la planète que les esprits et dont vous pouvez actuellement mesurer les conséquences désastreuses ...
Cette foi catholique qui vient de vos ancêtres doit se réveiller et même vous secouer, car il est encore temps ! Le Seigneur vous demande d’agir saintement en transmettant Sa Gloire sachant qu’une rencontre avec un frère ou une sœur est une « rencontre d’amour avec le Seigneur ».
C’est par des rencontres directes avec ceux qui sont dotés de dons spirituels et qui sont des modèles, que le Saint-Esprit amènera en vous bien plus de transformations que vous ne pouvez l’imaginer !
Votre évolution spirituelle dépend principalement des rencontres ouvertes, pleines d’attente avec les autres. Dans votre parcours, vous aurez la grâce de rencontrer des modèles en Christ, et c’est en les imitant dans la foi, dans leur manière d’être que vous serez transformés en la même image qu’eux, c’est-à-dire en Jésus-Christ !
Le chemin de la transformation est le chemin le plus direct, le plus rapide qui est lié à votre foi. Quand vous vous trouvez sous les pressions de la tentation, élevez votre regard vers Dieu avec une foi persévérante et vous vous détacherez de l’emprise des mauvais esprits...
Phares d'amour .... porteurs d'espérance !
Qu’une telle libération du mal soit votre part à tous! Posez-vous la question, tant qu’il est encore temps, de savoir quel est le sens de la vie que vous menez, les relations que vous entretenez dans le monde qui vous entoure ?
La foi est un rapport d’amour vivant avec le Seigneur Jésus. 
Chaque avancée vers Dieu prépare l’avancée suivante. 
Chacun et chacune d’entre vous est invité à témoigner de la foi, réaliser la communion humaine et ensuite servir les autres. 
Vous êtes tous des porteurs d’espérance."

Jean, votre messager d’amour

Suicide, suicide et réincanation

A genoux ... lever les yeux vers la Croix ...
Chaque année la journée du 10 septembre est dédiée à la prévention et à la lutte contre le suicide. Ce fléau n’épargne aucune tranche d’âge et entraîne la mort de près de 800 000 personnes chaque année dans le monde, dont 10 000 rien qu'en France ! Jean dans ce message nous fait percevoir toute la miséricorde de Dieu qui ''regarde le suicidé comme son enfant''... ''c'est à travers la tendresse humaine que l'amour de Dieu s'expérimente''…et ''Il nous appartient d'apporter aux autres l'Espérance'' .
En ce 14 septembre, fête de la Croix Glorieuse, la victoire de Jésus sur la mort vient nous rejoindre à chaque instant et nous donne toute la dignité dont nous avons besoin pour continuer notre chemin … malgré toutes les difficultés !

Livre Tome 3 : Au souffle de l'Amour vivifiant 
page 170 : chapitre 3, La recherche de vertus – Message du 06 mars 2003 – Suicide ; Suicide et réincarnation.

 Le suicide
" Bien à tort, beaucoup considèrent le suicide comme un péché extrême, ne laissant aucune place au pardon. Dieu dans toute Sa miséricorde n’est pas limité par un péché tel que le suicide, généralement provoqué par une souffrance physique ou morale ; cette souffrance est bien souvent due à l’incompréhension de la société.
A l’exception du blasphème contre le Saint-Esprit, tout péché est pardonné !
Mais que celui qui a l’intention de se suicider sache qu’il va engendrer une infinie désolation, autant dans sa famille qu’auprès de ses amis ...
Vous n’avez nullement à considérer comme un être faible ou malade mental celui qui envisage le suicide comme solution ; c’est l’effet d’un manque de confiance en Dieu.
Sachez que Dieu regardera le suicidé comme son enfant ; et Il a un dessein pour lui, le dessein de le sauver... Mais sa purification demandera un assez long séjour en purgatoire à moins que des messes aient été célébrées à son intention. Ses amis, sa famille le reverront un jour, il ne peut être perdu à jamais. Il appartient à ses amis et parents de lui exprimer tout leur amour en le nourrissant de prières, de messes, de neuvaines de messes, si ce n’est d’un trentain ...
Il appartient à chacun de vous de garder, plus ou moins consciemment, dans son esprit, le souvenir de périodes sombres et même de son adolescence où il peut avoir ressenti un sentiment profond de mal-être ; à un instant critique où tout lui semblait irrémédiable, un ami ou un parent placé sur sa route l’a alors aidé à sortir de son accablement ...
Suicide et réincarnation ? 
Pour la personne qui est dans la tempête de la lassitude et du découragement, les raisons de vivre restent, malgré tout, nombreuses mais dans ce contexte de découragement il lui est difficile de discerner. Il peut sembler au désespéré, dans ces moments graves, qu’il y a davantage de raisons de tout quitter pour tout oublier, pour ne plus être un poids pour son entourage, si ce n’est de vivre dans une autre vie....
Hélas, la théorie de la réincarnation peut parfois pousser certains à vouloir recommencer à zéro une autre vie plus intéressante. 
 Le vrai piège est que si la réincarnation existait vous pouvez bien imaginer que l’autre vie pourrait être encore plus difficile à vivre que la présente !
Les Écritures donnent un sens à la vie, elles sont une lumière qui brille et éclaire le chemin. Elles doivent éclairer tous les hommes. Jésus déclare bien : «Cherchez et vous trouverez.»
Celui qui veut en finir avec la vie doit encore faire un effort pour chercher à vivre, il ne doit pas seulement penser à lui-même mais surtout à ses parents et à ses amis auxquels il va apporter une souffrance encore plus considérable que la sienne. 
Dieu qui est aussi votre Père, vous demande de toujours vous réconcilier avec vous-même et d’accepter votre chagrin et vos manques.
Pour celui qui a perdu un être cher, il va vivre ce trop-plein de mémoire qui va le conduire à ressasser, ruminer indéfiniment. C’est un film qu’il va passer et repasser dans sa tête.
la tendresse humaine ...
Sa mémoire doit fonctionner sur des pistes différentes....
Il doit gommer de son raisonnement le rôle d’accusé et d’accusateur pour lever les yeux au ciel avec son cœur meurtri, et penser avec tout son amour à celui qui a voulu le quitter. 
Avec lui il va passer un contrat : prier, offrir des messes et communier à son intention et même ne pas en rester là, pour se tourner vers les plus malheureux car il y a l’espérance à apporter aux autres, c’est son devoir le plus intime. 
C’est à travers la tendresse humaine que l’amour de Dieu s’expérimente...!

Jean messager de la lumière"

La bonne et pleine mesure

Nous disposons du temps de chaque journée pour vaquer à nos occupations.... mais comment allons nous la remplir ? Quelle en est la bonne et pleine mesure ?
Dans ce message Jean nous indique comment servir Dieu dans nos frères sans calculer, sans chicaner, sans flâner, …. " en portant à Dieu la délicatesse de notre amour, humblement, pauvrement "... sans oublier l'espace-temps donné au Bon Dieu … pour une vie de charité et de charité à ras bord !

Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste 
Page 172 : La bonne et pleine mesure – Message du 8 août 2006 

" Les poids et les mesures déterminés dans l’histoire des hommes sont devenus une règle incontournable, et vous ne pouvez pas vous en affranchir autant pour le kilomètre, le quintal que le décalitre ou le boisseau qui occupe un volume déterminé.
Quand il s’agit de grain, on ne peut pas changer non plus les dimensions du boisseau qui sert à le mesurer, mais une marge est laissée à la générosité, et c’est cette marge que Jésus utilise dans la parabole de la mesure. Celui qui veut donner du grain chichement, et s’en tenir à la stricte justice, remplira le boisseau, ni plus ni moins et parfois plutôt moins, et le versera très rapidement dans le sac ou le tablier, ainsi personne ne pourra lui reprocher le geste malhonnête ...
C’est, hélas, ce que les hommes font le plus souvent dans leur vie !
Toutefois si vous voulez avantager l’autre, qu’il soit votre ami ou celui que vous rencontrez, vous secouerez énergiquement le boisseau, afin de tasser le grain pour faire de la place et y loger un surplus. 
Le boisseau par lui-même n’est rien qu’un instrument commode et reconnu par tous ; tout dépend de la manière dont vous l’utilisez.
C’est ainsi pour toutes les mesures dont vous disposez pour le service du Royaume.
 ...à ras bord !
Vous disposez de chaque journée qui est la mesure la plus courante, la plus fonctionnelle, la plus indiscutable, c’est la mesure de votre activité et de votre fidélité.
Mais comment allez-vous la remplir ? Il y a bien différentes manières de la remplir. Vous pouvez la remplir très lentement, en y laissant beaucoup d’air, en prenant beaucoup de liberté, en vous permettant beaucoup de fantaisie, c’est le lot de bien des personnes. Extérieure ment vous paraîtrez irréprochable, on n’y trouvera rien à redire ; à la limite, personne ne s’apercevra de votre laisser-aller ....
Mais si vous voulez servir Dieu dans vos frères ou vos sœurs, sans calculer, sans chicaner, sans flâner, vous serez attentif à serrer votre temps, à tasser vos journées, à y verser de la fidélité à ras bord. 
Il ne s’agira pas non plus d’être trop scrupuleux, mais de gérer votre temps en portant à Dieu, humblement, pauvrement, la délicatesse de votre amour, remplissant de tendresse le temps que Dieu vous donne. 
Au cœur de vos journées, les temps d’oraison représentent, eux aussi, un espace mesuré, calibré et bien repérable. 
C’est le temps donné au Bon Dieu pour œuvrer à Sa gloire et au salut du monde. 
Il arrive, là aussi, que la bonne mesure n’y soit pas, ou bien à la longue le boisseau s’est cabossé, ou bien l’habitude de l’utilisation rétrécit le volume utile, ou bien encore, le boisseau ne retient rien parce que je le présente distraitement...
Soit que vous donniez à Dieu, soit que vous serviez vos frères, la vraie mesure doit toujours être débordante.
C’est ainsi, en tout cas, que Jésus conçoit la fidélité.
Celui qui sème chichement moissonnera chichement ; celui qui donne généreusement croulera sous les dons de Dieu, car, devant la moindre gratuité, Dieu met sa joie à surenchérir.
Que vos cœurs se tournent vers le Dieu éternel, votre Père, afin que vous demeuriez tout entier à Son service et cela, dans la recherche de l’unique nécessaire qui est une vie remplie de charité et de charité à ras bord.

Jean Messager de la Lumière "

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