L'aventure spirituelle vécue par Robert et Yvette ... avec leur fils Jean, bien sûr !

Livre Tome 2 : La communion des saints 
Page Introduction du Livre
 
Robert et Yvette auraient été déconcertés si on leur avait annoncé seulement quelques jours avant, l’aventure spirituelle qui allait bouleverser leur vie. 
 
Le message de la Sainte Vierge Marie 
C’est le 26 juin 1996, au cours d’un pèlerinage et pendant une messe à l’église de Siriko-Grieg située près de Medjugorje que leur vie a basculé. L’église est pleine à craquer, le Père Jozo officie, une grande ferveur règne dans ce sanctuaire. Le prêtre s’exprime en italien, sa voix est chaude et prenante. Une interprète l’assiste et transmet les paroles de son homélie. 
C’est à cet instant que Robert entend le message suivant :
"Robert, ce que tu fais est bien, tu dois donner l’exemple. Avec ton épouse vous direz ensemble un chapelet par jour. Cela, tu le lui imposeras. Sois tolérant envers tes fils, mon Fils s’en occupe. Surtout, donne l’exemple et chasse l’angoisse qui est chez les autres, c’est ton devoir."
 Entendre une voix féminine l’appeler par son prénom, sans aucune présence visible le surprend, au point que précipitamment il quitte son épouse, pour se réfugier au fond de l’église. Très ému, les larmes aux yeux, il éprouve un infini plaisir à écouter ce timbre doux, mélodieux, si profond, c’est une intensité d’amour.
Comme dans le message, cette voix féminine parle de son Fils, il ne peut s’agir que de la Sainte Vierge Marie, ce qui a été confirmé par la suite. Dès la fin de la cérémonie, Robert en parle à son épouse en lui précisant sa ferme intention de ne rien dire aux autres pèlerins, même pas aux prêtres accompagnateurs. Les voici sur le chemin du retour. Les pèlerins témoignent. Un témoignage met résolument en cause l’authenticité des apparitions, ce qui fait réagir Robert. Avec émotion et chaleur, il témoigne dans un souci d’objectivité, en fonction de ce qu’il a vécu. Marie et Jésus avaient décidé que Robert devait témoigner. 
Peu pratiquants jusqu’alors, ils ont deux fils, Jean et Alain, qu’ils avaient cependant placés dans des écoles catholiques. A partir du message de la Sainte Vierge, Yvette et Robert vont dire leur chapelet journalier, avec quelques difficultés au début il est vrai ; épisodiquement ils assistent à la messe. Ils apprennent à prier progressivement avec le cour et fréquentent de plus en plus assidûment les offices religieux.
 
Jean s’envole pour l’éternité 
Six mois après, soit le 13 décembre 1996, c’est le départ de Jean, que rien ne laissait présager; il est emporté par une hémorragie interne. Âgé de quarante-trois ans, Jean est célibataire. Par la prière et par imposition des mains, il soignait et vivait pauvrement. Avec le prêtre de la paroisse il entretenait d’excellentes relations. Il priait beaucoup et faisait prier notamment pour les âmes du purgatoire. Dans ses affaires on a trouvé de nombreux ouvrages de spiritualité et textes de prières. 
 
Intervention d’une personne guérie (Colette) 
Affectés par le départ brutal de leur fils, les parents souffraient en silence et se repliaient sur eux-mêmes. Une infirmière, que Jean avait aidée spirituellement et guérie d’un cancer, les sort de leurs prostrations. Elle leur téléphone en effet pour les informer, le 23 février 1997, qu’elle a reçu par locution intérieure de Jean, un message lui demandant de consoler et rassurer ses parents. Instinctivement, ils marquent une certaine défiance à son encontre. 
 
Et voici le message adressé à Colette 
«Oui le message venait de Marie, il fallait que mes parents se préparent à mon départ et la Sainte Vierge a bien voulu le leur faire savoir, car elle choisit ceux qui l’aiment.»
 «Je suis dans l’amour et tout le bonheur du Ciel, et vous, Colette, je vous remercie d’être la messagère de ma parole pour mes parents et ceux qui m’ont aimé.»
«Moi, Jean, je vous suis présent et je vous parle, et vous aussi soyez dans le bonheur de la foi et d’être choisie et élue de Jésus.»
 «Il est permis à certaines âmes de communiquer avec l’au-delà, mais il faut être préparé pour cela, il faut être dans une grande foi, un grand amour de Dieu et de Marie. Je donnerai des signes de présence à mes parents. Je suis là pour les aider et les aimer très fort.»
 
Les messages des frères du Ciel 
C’est dans l’esprit de ses parents que Jean insiste pour qu’une correspondance s’établisse. D’abord la maman et ensuite le papa acquiescent. Troublé et surpris, Robert marque beaucoup d’hésitation pour s’engager dans ce type d’union.
 C’est à partir du 21 mars 1997, que des messages pratiquement journaliers affluent: 
— Pour Yvette, c’est le soir, c’est personnel: comme un enfant qui s’adresse avec amour à sa maman, afin de la consoler. 
— Pour Robert, c’est le matin, ce sont des enseignements et de précieux conseils. Réveillé entre 3 et 5 heures, dans une joie intense il s’installe au bureau, se signe, allume un cierge, prie Dieu et Marie. Il écrit et au fur et à mesure des mots, des phrases sortent de son esprit sous la forme d’une belle écriture «bâton», mais cela ne dépend plus de lui, c’est Jean et les frères du Ciel qui s’expriment. Le bureau n’existe plus, il ne sent plus son corps, le temps s’efface. Il est dans le ravissement le plus complet. Ensuite c’est avec regret qu’il retrouve son corps et son environnement, mais il en est tellement heureux. 
 
Jean précise l’objectif des messages 
«Papa, pourquoi t’ai-je poussé à écrire, vous comprenez bien que votre action sur terre est primordiale, pourquoi ? Si on écrit, si on parle des âmes du purgatoire, les gens prendront conscience que l’au-delà est si proche de vous et de cette façon, ils pourront être sauvés.»
 «Ton esprit, instinctivement, repousse l’idée de communiquer les messages, mais c’est la seule manière par laquelle nous pouvons œuvrer à la communion des saints. Dans cet ensemble, il faut donner une place privilégiée à tous ceux, à toutes ces âmes qui, dans le purgatoire, attendent pour monter au paradis.» 
«Donc tous les matins, tu me consacreras une heure et demie de ton temps et par ce moyen d’écriture directe, j’aurai l’occasion de te dicter les instructions du Très-Haut
 «Oui, en ce moment, vous êtes à même de comprendre que je suis le facteur qui vous apporte la lettre du Ciel, pour laquelle j’ai été autorisé à faire l’enveloppe, mais également à vous exprimer tout mon amour. Ce n’est pas uniquement ma volonté qui agit, mais celle de tous les frères du Ciel (c’est-à-dire les saints connus et inconnus). Nous sommes une multitude à votre service pour indiquer la direction que doivent prendre les hommes de votre terre.»
 «Par vos efforts, par l’offrande de vos souffrances, sachez que le bonheur du Ciel est si grandiose par rapport à vos peines de la terre. Tous les saints sont avec nous pour vous rapprocher de Marie, de Jésus et vous mener au Père.»
 «Simplement, tout simplement, pose-toi la question suivante: que m’ont apporté toutes ces relations matinales? Papa, c’est aux fruits que l’on voit l’arbre.» 
Effectivement, cela apporte à Robert ainsi qu’à Yvette une grande sérénité, une vie de prière, un approfondissement de leur spiritualité par l’étude de la Bible et aussi une ouverture d’esprit plus grande. 
 «Avez-vous cherché à me contacter
Non, vous n’y aviez jamais pensé, ce contact est le dessein de Dieu. La seule possibilité qui m’a été donnée a été Mme Colette car autant sur terre qu’actuellement au Ciel, est si proche de moi, ce qui explique ses messages, c’est elle qui m’avait le mieux compris.» 
«Avant mon départ, vous étiez des tièdes, toutes les épreuves que vous avez subies de mon vivant et surtout après, vous ont fait découvrir l’amour incommensurable de Dieu et de Marie en recevant mes locutions intérieures guidées par l’Esprit Saint. Vous avez été obéissants, ce qui m’a permis ainsi qu’à vous, de répondre aux demandes du Ciel.»
 «Pour accéder à la sainteté, il ne suffit pas de suivre des conseils généraux qui valent pour tout un chacun. Il faut reconnaître ce que Dieu demande en particulier et vous l’avez bien compris par les messages du Ciel et par les événements de votre vie
 
Les parents s’expriment sur leur service
 Jean, notre enfant chéri, qui est la substance de nous-mêmes, en s’envolant vers le Ciel est devenu notre berger et notre soutien. 
Nous existions matériellement, il est vrai notre vie familiale autant que professionnelle était assez réussie, mais il manquait le principal, la pierre d’angle, c’est-à-dire la présence de Dieu.
Pourtant du vivant de Jean nous nous interrogions sur sa spiritualité et devant sa manière de vivre, nous-mêmes étions en recherche en fréquentant les moines d’une abbaye, en méditant, en lisant des ouvrages religieux, et même, sur ses conseils et pour lui faire plaisir nous participions à des pèlerinages, plus touristiques que fervents. 
Ce que Jean n’a pas entièrement réalisé sur terre, nous le poursuivons ensemble dans l’amour. Il est devenu notre guide, en nous éclairant de la Lumière de Dieu afin d’assurer notre culture. C’est par les messages des frères du Ciel, transmis par notre Jean, que petit à petit nous avons découvert la réalité de la vie spirituelle. 
Contrairement à ce que nous pensions avant le pèlerinage de Medjugorje, nous sommes convaincus que nous ne devons pas percevoir l’Église uniquement dans son histoire, c’est-à-dire avec ses qualités et ses défauts, ses grandeurs et ses scandales, mais la voir avec cette réalité du Ciel, invisible certes, mais divine et humaine. 
N’est-elle pas le Corps du Christ et l’épouse du Saint- Esprit ? 
Nous pouvons tant pour les âmes, il y a un seul sens, le sens de l’amour donc de la prière. 
Cet amour nous devons le donner à fond, tout ce que nous faisons ou que nous omettons a une valeur d’éternité et nous suit dans l’au-delà; oui, la mort est une nouvelle naissance. Nous existons entièrement avec le Ciel, Dieu, Jésus, Marie, les saints que nous prions, les membres de notre famille aussi sont avec nous, ils nous aident et nous aiment. 
Nous avons suivi le mieux possible la direction donnée par le Ciel, ce sont actuellement nos rosaires et messes quotidiennes, les prières communes avec des amis, les pèlerinages pour les âmes du purgatoire, le tout en vue de semer le bon grain sur les terres fertiles de tous ceux que la Providence place sur notre route.
Notre service consiste à rappeler à notre monde que nos amis, nos parents qui sont passés de l’autre côté de la rive se trouvent dans la vraie vie. Ils sont en route vers cette vision de Dieu face à face. Ils nous demandent de l’amour par le souvenir mais surtout par des messes et des prières. 
Notre vie a dépassé la matière, du visible nous sommes passés à l’invisible ; du doute et de la souffrance que nous refusions, nous en sommes venus à la certitude que sur cette terre nous vivons notre purification. 
Dans le cadre de la communion des saints, chaque être humain a beaucoup à faire autant pour son prochain que pour ses parents et amis qui ont rejoint l’éternité. 
 
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La Toussaint

Livre Tome 6 : Pour bien passer la porte du ciel
Page 246 : La Toussaint - message du 28 octobre 2009 (mis sur le site le 31 octobre 2024)
 
"En ces jours de Toussaint, vous allez rendre hommage et vénérer la mémoire de ceux qui vous ont quittés, cela allumera forcément en vous ce désir ardent de les revoir un jour !
Oui, vous retrouverez vos bien-aimés, vous les retrouverez tout au milieu d’une foule innombrable entourée de prophètes et d’apôtres, associés à la joie et à la communion de tous les saints...
Les saints de votre famille, tout comme ceux que vous priez, vous les rejoindrez le jour où vous ressusciterez avec le Christ. 
Effectivement, après une purification utile, vous vivrez nos réalités, ces réalités dont vous ne pouvez aujourd’hui mesurer l’infinie grandeur ; et toute sa splendeur se réalisera. 
Votre plus grand désir est de voir Jésus comme les saints Le voient ; oui, le Christ Jésus vous apparaîtra, Lui qui est votre vie, et vous resplendirez de Sa gloire !
Pour le moment, votre tête est entourée des épines de vos péchés, mais après une purification nécessaire, elle sera couronnée de gloire...
 Il ne suffit pas de pleurer vos défunts, mais de prier pour eux et encore mieux faire l’offrande de Messes et communier à leur intention. 
Comprenez que votre attachement envers les âmes du Purgatoire vous fait craindre vos moindres fautes, en considérant les châtiments que vous aurez à expier, et c’est une bonne chose car cela vous incite à faire des efforts. Pensez que les saints, tout comme vos ancêtres, sont tellement différents ; leur seul point commun est l’Amour.
Ils ont vécu sur terre plus ou moins longtemps, avec des tempéraments différents et dans diverses conditions, ce qui n’exclut pas leur sainteté. 
Comme vous, ils ont vécu des obstacles, des combats. 
Dans leurs cœurs, ils ont ressenti les mêmes sensibilités, les mêmes tentations, les mêmes révoltes contre la nature détériorée. Ils ont parfois rechuté, ont eu de bons amis mais d’autres les ont trahis ; ils ont eu des ennemis à pardonner, à lutter contre l’orgueil, un amour-propre à poursuivre sans relâche... 
Vous allez également célébrer vos frères et sœurs aînés qui ont passé la mort, mais poursuivent encore leur route vers la plénitude du bonheur du Ciel. 
Si la fête de la Toussaint est toute rayonnante de joie, celle consacrée à vos chers défunts est plus recueillie, car vous êtes appelés à prier pour abréger les souffrances de ceux qui sont certes déjà entrés dans la lumière de la vie, mais qui n’ont pas encore entièrement achevé leur purification dans le feu de la Charité divine. Vous devez bien comprendre que pour ces âmes, l’attente du bonheur éternel, de la rencontre avec le Bien-aimé est source de souffrances à cause de la peine due au péché, qui maintient loin de Dieu. Mais l’âme jouit de la certitude que, le temps de sa purification achevé, elle ira à la rencontre de Celui qu’elle désire. 
Tous, pensez qu’il vous appartient de prier avec ferveur pour les défunts : pour ceux de vos familles et pour tous vos frères et sœurs qui sont morts, afin qu’ils obtiennent la rémission des peines dues à leurs péchés.
Rien d’impur ne peut être admis au Royaume des Cieux ; aucune tache ne peut y entrer aussi légère soit-elle, elle doit être effacée par le feu de la justice divine. 
Si vous pratiquez l’Évangile, vous n’avez pas le droit de manquer à vos devoirs de chrétiens ; il ne peut y avoir ni mauvaise habitude enracinée, ni tempérament violent ou fragile, ni croix accablante qui puissent vous perturber. 

Jean, votre messager d’amour"

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Livre Tome 3 : Au souffle de l'Amour vivifiant
Page 188 : Le trentain grégorien - message de Jean du 30 mai 1999 -

"Quand vous offrez des messes en faveur de vos défunts, elles profitent également aux âmes du purgatoire les plus délaissées. 
Dieu est miséricordieux, ne l’oubliez pas ! (30.05.1999) "
Le trentain grégorien l’emporte sur toute autre dévotion en faveur du purgatoire, par son antiquité autant que par l’autorité du fondateur et par son exceptionnelle efficacité. C’est un usage très ancien puisqu’il remonte à la fin du sixième siècle. Il tient son nom de saint Grégoire Ier le Grand (pape de 590 à 604), qui l’institua alors qu’il était abbé de Saint-André à l’abbaye bénédictine du Mont-Caelius à Rome. 
Un jour, enflammé pour les âmes du purgatoire d’une charité très ardente, il se lamentait de ce qu’après sa mort, il ne pourrait plus rien pour elles : «Mon ami, lui dit Notre-Seigneur, je veux bien accorder en ta faveur un privilège qui sera unique. C’est que toute âme du purgatoire pour laquelle seront offertes trente messes en ton honneur et sans interruption, sera immédiatement délivrée quelle que soit sa dette envers moi.» 
A noter que les communautés religieuses ont presque toutes, dans leurs Constitutions, l’obligation de faire dire un trentain de messes grégoriennes pour chaque membre défunt.
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