Page 119 à 126 : La FAMILLE – messages de 2000 et 2001 (mis sur le site le 26 février 2025)
7.1 Cultiver l’esprit d’enfance
« Pour comprendre les autres, il faut vous mettre à leur place et
les aimer.
C’est dans le rire de l’enfant, l’énergie des jeunes, la
douceur et la patience des personnes âgées que vous reconnaîtrez
toujours Dieu.
Il vous appartient de cultiver l’esprit d’enfance et vous aurez
une joie sereine, vous serez inondés d’amour, de joie, de la vraie
joie et vous perdrez définitivement votre esprit critique qui est le
propre du genre humain. (07.01.2000)
Comme vous le constaterez bien souvent, des personnes, et
non des moindres, sont imbues de leurs connaissances intellectuelles
et mêmes spirituelles. Ne vous laissez pas prendre à leurs
pièges car la vérité la plus grande doit rester accessible à l’enfant ;
cette vérité doit être simplicité.
Pensez au monde de l’enfant, en écartant les affreuses images
de l’enfer et en vous penchant sur les contes de fées où l’amour
et la puissance du bien neutralisent le mal. Gardez toujours un cœur d’enfant pour demeurer en harmonie avec le Ciel. C’est
primordial ! (04.01.2001)
Abandonnez-vous et faites une confiance totale à Dieu, dans
tout ce qui est important mais également dans les choses qui
vous paraissent insignifiantes.
Restez toujours aussi simples que
des enfants.
Vous avez bien compris que Dieu manifeste sa tendresse,
sa prévoyance, sa fidélité d’une manière parfois bouleversante.
Si Dieu vous traite à certains moments avec une dureté
apparente, Il a aussi des délicatesses imprévues et si surprenantes,
dont seul un amour aussi tendre et pur que le sien est capable.
Les délicatesses du Seigneur ne sont pas uniquement réservées
aux saints, elles sont pour tous ceux qui croient en Dieu, ce Dieu
qui est leur Père. (11.01.2001)
7.2 La vie en famille
Quand un membre de leur famille se trouve dans une situation
difficile, beaucoup de personnes perdent la paix de l’âme.
Vous-mêmes vous avez bien ressenti un grand découragement
quand j’ai quitté votre monde et même quand ma souffrance
physique et morale vous préoccupait.
L’homme est toujours plus tourmenté par la souffrance de
l’autre que par la sienne. En soi cela est noble et généreux, mais
il faut éviter le découragement !
Oui, l’anxiété parfois excessive
règne dans les familles quand un membre est éprouvé par sa
santé physique ou morale, ou bien lorsque un mari ou une
femme déserte le foyer familial, laissant des enfants privés de
l’amour d’un parent.
Très souvent deux êtres se séparent pour la seule et unique
raison qu’ils ne s’entendent pas dans leur vie sexuelle. Le grand
problème de l’homme est qu’il cherche bien trop souvent à concilier
le plaisir de la chair et la vie de l’esprit. S’il cède à la chair il ne peut accéder à l’esprit. Une seule solution existe pour sortir
de cette impasse: inviter Dieu à venir habiter dans son coeur ! S’il
ne le demande pas lui-même, que les personnes concernées, plus
ou moins directement, le fassent à sa place. (09.06.2000)
Les couples bien souvent ne se disent pas tout. Pourtant dans
un souci d’honnêteté chacun doit tout savoir, tout connaître de
l’autre. Ainsi, ils vivront dans une grande confiance et un plus
grand respect sous le regard de Dieu le Père avec Jésus, Marie et
Joseph. (04.02.2000)
La sexualité corrompt et détruit les véritables relations humaines.
Agissez contre toutes ces impuretés qui sont à l’origine de
tous les enfants non-nés qui peuplent les limbes. Pour vivre un
amour pur, il faut exclure de tous rapports l’attrait de la chair et
s’en tenir aux relations amicales et fraternelles. L’amour spirituel,
dénué de tout désir impur, peut être parfaitement vécu. (30.08.2000)
Dans votre entourage et au cours de témoignages vous rencontrez
beaucoup de divorcés-remariés.
L’Eglise leur demande le
sacrifice de ne pas communier.
Ils ne doivent pas faire de communion
sacrilège, ce qui ne les empêche pas d’assister à la sainte
Messe.
Jésus peut passer un jour près d’eux et s’arrêter. Ils se verront
tels qu’ils sont et la fidélité qu’ils auront montrée sera grandement
récompensée.
L’homme ne peut manquer de respect pour
les choses sacrées.
Surtout il n’a pas à prétendre être écœuré par
les prêtres et le manque de spiritualité qui sévit dans l’Église.
(01.05.2000)
Hélas, nombreux sont les couples qui se déchirent dans leur
union. Il suffit de jeter un regard dans votre entourage, de lire dans
les journaux tous les drames de la mésentente et de la rupture.
Toutes les classes de la société sont atteintes, les chrétiens aussi ;
écoutez le chapelet dit à Lourdes et vous découvrirez toutes les
intentions sollicitées pour tous ces couples qui se déchirent !
Les hommes et les femmes devraient comprendre, simplement
en regardant leur entourage, que l’on se marie pour le
meilleur et également pour le pire.
En se mariant, la femme
comme l’homme épouse les défauts et qualités de son conjoint.
Il appartient à chacun de donner l’exemple, d’essayer de modifier
l’autre en bien, par la persuasion, et de supporter ce qui est
pénible pour éviter que le mal ne grandisse.
Il faut partir du principe que l’on ne doit divorcer sous aucun
prétexte, même d’un commun accord. Tout ce qui est lié sur la
terre l’est également au Ciel. Dieu a toujours uni deux êtres pour
qu’ils se purifient en s’acceptant, donc en avançant spirituellement...
Il faut toujours que l’un cède à l’autre ; ainsi il gagnera des
points pour le Ciel.
Les mariages ne sont pas toujours contractés sous le regard de
Dieu ; ils peuvent être engagés par une attirance de la chair ou
une attirance intellectuelle, ou encore par intérêt purement matériel.
Et ils sont bien plus nombreux que vous ne pensez, ces
couples qui ne peuvent s’accorder sur les autres points et vivent
ainsi dans l’enfer de l’égoïsme et de l’incompréhension !
Le mari ou la femme, et bien souvent les deux, s’imaginent
être le centre du monde en cherchant à utiliser l’autre comme
serviteur ou comme instrument de plaisir, et surtout en désirant
avoir le dernier mot. Hélas, c’est toujours l’éducation des enfants
qui pose des problèmes d’entente et ce sont les enfants qui en
payent les conséquences !(04.01.2001)
7.3 Contraception et avortement
Les médecins, sages-femmes et infirmiers ou travailleurs sociaux
ont à se poser beaucoup de questions sur les problèmes de
l’avortement et de la contraception. Ces méthodes heurtent
parfois leur conscience car elles sont incompatibles avec leur
foi.
Hélas, bien plus nombreux sont ceux qui ne se donnent pas
la peine de s’interroger à ce sujet, considérant qu’il faut suivre
l’évolution de la société !
Le rôle de chaque chrétien est de mettre tout en œuvre pour
éviter les pratiques de l’avortement et de la contraception. Il lui
appartient d’éclairer ceux qui sollicitent ces pratiques, donc de
les responsabiliser.
A leur égard ils ne faut pas se montrer tranchant,
donc impitoyable, mais rester doux et écouter leur cœur
exposer leurs misères. Ils sont malheureux, meurtris, vous devez
les aider !
Oui, chacun de vous doit avoir une action positive dans
son travail, son environnement ou ses rencontres.
Parlez de la
chasteté, parlez de l’amour-respect, de la tendresse et de la douceur
à ceux qui veulent bien comprendre.
Surtout ne renoncez jamais,
malgré les doutes et même les déceptions, à éduquer l’autre.
Les enfants que vous avez éliminés de la terre vous attendent
de l’autre côté de la rive pour vous manifester tout leur amour. Si des chrétiens pratiquent hélas la contraception, fort heureusement
rares sont ceux qui acceptent l’avortement ! (22.08.2000)
L’essentiel de ce pèlerinage a porté sur la réparation due aux
enfants non-nés, ce qui est très important car tant de personnes
sont plus ou moins directement concernées.
Jésus a été pour tous les hommes l’exemple des exemples, car
il est allé jusqu’à recevoir le Baptême dont il n’avait nullement
besoin, pour la simple raison qu’il était le Christ. Cependant,
c’est aux yeux des hommes qu’Il l’a fait, pour porter témoignage
de l’importance de ce sacrement !
Il vous appartient de dire aux hommes que le baptême est le
premier contact de l’âme avec l’Esprit Saint. Il est bien évident
que le baptême n’est pas un choix. Le tout jeune enfant n’a pas la
possibilité de le demander ; cette responsabilité incombe aux parents.
Comme le corps se nourrit de lait, l’âme a besoin, malgré
qu’elle ne puisse le demander, de recevoir des provisions spirituelles.
Cette messe a permis à une multitude de petits innocents
d’accéder à la lumière de Dieu. Vous devez agir le plus rapidement
possible. Il faut éviter que de tels meurtres puissent se
produire et que soit régularisé, par une cérémonie eucharistique,
le cas de tous ceux qui ont été éliminés par lâcheté, inconscience
et très rarement par méchanceté. (30.08.2000)
7.4 L’arbre généalogique
Il est surprenant d’entendre dire que les lois de Dieu de l’Ancien
Testament sont dépassées. Pourtant elles restent toujours les
mêmes. C’est l’homme qui les transforme.
Vos péchés, eux, n’ont
pas changé. Vous devez réparer les fautes de vos ancêtres; la
prière et les messes offertes aux intentions de vos défunts seront
efficaces !
Beaucoup sont oubliés dans le purgatoire car presque personne
ne prie pour les défunts qui croupissent depuis plusieurs
siècles. C’est triste pour eux, car souvent ils n’ont plus de famille ;
et si la famille est présente c’est encore plus douloureux pour
eux.
Ces oubliés, souvent, peuvent se manifester auprès des générations
suivantes par des maladies dont on ne comprend d’où
elles peuvent venir. Ces maladies génétiques proviennent de l’arbre
généalogique dont l’ancêtre est parfois très éloigné de la
génération actuelle.
Voilà pourquoi j’ai sollicité papa pour qu’il
étudie l’arbre généalogique. C’est très important et je suis heureux
que des religieux se penchent sur cette guérison par la
prière. L’Eucharistie demandée à l’intention de ces pauvres ancêtres
pourra guérir beaucoup de personnes. (31.01.2000)
Au cours des siècles, l’homme, sous l’emprise de sa négativité,
a cherché son propre plaisir et a ainsi accumulé des erreurs. Le
monde des habitudes, lié aux sensations inspirées par le démon,
a bouleversé son esprit. Elles sont inscrites dans le code génétique
et beaucoup de personnes par leurs maladies ou leurs travers
en subissent les conséquences. La seule manière de sortir de cette
impasse est de prier pour les ancêtres qui ont mal agi.
A cet effet,
vous pouvez demander des neuvaines ou faire célébrer des messes
à leur intention. (09.06.2000)
Pour retrouver la mémoire de ses racines, de tous ses ancêtres,
l’homme doit s’enfoncer dans les profondeurs de son océan intérieur,
cela, en brisant toute la carapace qui le bloque et l’enserre.
Hier soir, en visionnant la cassette sur l’Atlantide, vous avez
compris que l’homme ne retrouvera jamais ses origines s’il ne se
réfère à Dieu son Créateur.
Cette vie intérieure, il vous appartient de la découvrir, en vous
y plongeant, armés d’un jeûne bienfaisant, de la prière du rosaire
et des saintes Eucharisties. Certes, il vous faudra beaucoup de
persévérance pour y déceler et y retrouver ce que vous êtes en
vérité, et ce que tous vos ancêtres vous ont laissé en héritage, tant
en bien qu’en mal. 
Le Seigneur vous laisse la liberté de choisir vous-mêmes, car
vous avez suffisamment de choses imposées par les circonstances
et les événements. Certes, Dieu a des préférences, mais comme il
est d’une extrême délicatesse, il vous laisse le soin de décrypter, de
méditer et de mettre en application les messages des frères du Ciel.
Les apôtres n’étaient guère plus mystiques que vous avant la
Pentecôte, mais quand ils ont été inondés du Saint Esprit, leurs cœurs ont brûlé du feu de Jésus.
Vous êtes pauvres et les circonstances ont voulu que vous
soyez pécheurs ; cela vous a ainsi permis de mieux descendre dans
les profondeurs de votre misère où se trouve cachée la source de
votre vie, c’est-à-dire la bienheureuse et sainte Trinité. Cette
source a jailli le jour de votre baptême !C’est par de saines et
saintes lectures, par la Bible et l’écoute attentive des messes, des
homélies des prêtres que vous dépasserez les idées négatives qui
coulent dans votre tête, pour en briser les barrières et ressentir
la vie qui bouge en vous, comme un enfant dans le sein de sa
maman !
Cette source, c’est le Seigneur. Il aime tant que vous puissiez
vous y plonger pour dilater et élargir votre cœur aux dimensions
du sien.
Restez persuadés que c’est toujours de vos ancêtres que vous
héritez de toutes bonnes choses mais également d’imperfections
et de tendances néfastes.
C’est uniquement en faisant acte de
volonté, en y associant prières, saintes Eucharisties et encore
mieux par votre manière de vivre en chrétien que, par la grâce de
Dieu, vous serez délivrés et guéris. (12.02.2001)
Beaucoup de psychologues et de psychiatres pensent que leur
vocation est de déculpabiliser les hommes en leur suggérant que
la morale judéo-chrétienne est dépassée et que les fantasmes, les
craintes et même le péché font partie de la norme ; ils n’ont donc
pas à se sentir responsables. Évidemment, cette méthode est
bonne pour un certain temps, mais généralement en écoutant
ces conseils, l’homme tombe encore plus bas....
S’ils se penchaient davantage sur l’arbre généalogique ils auraient
une vision plus saine de leur raisonnement.
La guérison des
maladies par l’arbre généalogique est une science d’avenir. (31.01.2000)
Dans la guérison par l’arbre généalogique il a été démontré
que des résultats probants ont été réalisés par le sacrement de
l’Eucharistie, avec le Corps et le Sang du Christ Jésus ressuscité.
Que votre âme se remplisse de Sa présence vivante !
Si vous consentez à recevoir l’Eucharistie dans le but d’obtenir
votre guérison physique et spirituelle, avant de communier et
particulièrement le soir avant de vous endormir, pensez au désir
qu’a le Fils de venir dans votre cœur et de vous aider, en remontant
aux ancêtres qui ont mené une vie plus ou moins acceptable.
Il serait bon de faire célébrer une neuvaine pour l’arbre
généalogique de vos familles. (04.02.2000)
Jean, messager de La Lumière"
[« La famille est tout ou presque tout pour l’homme. "Pour
l’enfant qui s’ouvre à la vie; pour l’adolescent et le jeune qui
trouvent en elle un exemple à suivre et un rempart contre
l’esprit du mal; pour les époux mêmes, pour les grands-parents
enfin, qui peuvent y jouir du fruit mérité d’une longue
fidélité.» Jean XXIII ]