Jean nous dit que le temps presse .... convertissons nous ....!
Écoutons le nous parler de la souffrance ..... souffrance dont l'homme ne peut guérir que par un remède divin .... souffrance qui transforme les âmes ...
Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes
Page 194 : La souffrance transforme – message du 1er février 2004 -
Page 223 : Le temps presse - Avertissement final – message du 8 mai 2004 - (messages mis sur le site le 11 octobre 2020)
" Dans le contenu des messages, malgré qu’il y ait ton empreinte,
il ressort bien que cet enseignement n’est pas de toi, mais de
l’Évangile. Ainsi tu exprimes l’Esprit des frères du Ciel, donc
celui de Jésus-Christ, et tout cela dans la simplicité des paroles.
Suite à des interrogations que peuvent formuler des personnes,
posez-vous cette question avant d’agir : « Cela est-il conforme
à la manière du Fils de Dieu ? »
Il y a une loi que la science est bien incapable d’expliquer, c’est
celle de la souffrance qui est une loi mystérieuse, universelle et
incompréhensible.
Cette loi a été décrétée le jour où le péché a
pris naissance dans le monde.
Dans sa généralité, elle concerne
tous les maux et toutes les infortunes qui sont susceptibles de
frapper le genre humain.
Reprenez la lecture de l’Ancien Testament, où le Seigneur
prescrit que l’homme gagnera son pain à la sueur de son front et
que la femme enfantera dans la douleur....
A partir de ce moment,
la douleur est devenue la loi de l’humanité.
Ses eaux amères
inondent et coulent dans votre vie, cela à travers bien des générations.
Car si vous bénéficiez, d’une certaine manière, des bonnes œuvres accomplies par vos ancêtres, vous supportez aussi, à
un niveau plus ou moins douloureux, les conséquences de leurs
fautes.
Malgré les réalisations parfois meurtrières de l’industrie
pharmaceutique et l’étendue des conquêtes de l’homme sur le
plan technologique et malgré tous ses efforts, l’être humain,
dominé par le règne de l’argent, n’a pas pu éliminer la souffrance.
Bien au contraire, il l’a amplifiée, en salissant et dégradant
la planète. En ne voulant pas écouter Dieu, il n’a vaincu ni
la pauvreté ni les maladies, parvenant même à les augmenter.
Pour soustraire les hommes à l’impitoyable loi qui affectait
leur vie, il fallait qu’un médecin, venant du Ciel, vienne en
extraire le mal.
L’homme ne pouvait guérir que par l’application
d’un remède divin, remède apporté par la naissance sur terre du
Fils de Dieu.
Jésus aurait pu se manifester dans une splendeur divine entouré
de la Cour Céleste.
Mais il a jugé plus digne et plus avantageux
pour le salut des hommes d’être couronné d’épines,
odieusement maltraité, d’avoir le visage meurtri et de porter,
imprégné sur ses mains et sur ses pieds, la trace des clous.
Il a
ainsi dépouillé la souffrance de toute son amertume et en a
détruit le venin.
Par sa Résurrection, ses divines plaies éternellement ouvertes,
interpellent toujours les âmes égarées et déchues, afin de les
soustraire de leurs aspirations sensuelles et grossières, en les invitant
à se fortifier dans les joies du sacrifice et dans l’honneur de
la pureté.
La souffrance transforme les âmes et éveille en elles une vertu
qui les touche, les restaure et les adoucit.
Le nécessiteux, qui a
ressenti la faim et le malheur, mais qui, par sa volonté et son
travail, parvient à retrouver une vie aisée, se servira de ses biens
avec sagesse et modération, car son expérience lui aura appris
combien il en coûte d’être pauvre, d’avoir faim et de vivre sur la
terre, errant, malade, ignoré.
Votre volonté est souvent incertaine, d’autant plus que votre
vie est remplie d’inégalités.
Un rien est susceptible de vous faire
mal, une simple parole formulée vous perturbe...
Et vous passez
de la joie à la tristesse.
La cause de ces variations et de ces changements
n’est autre que le résultat de votre susceptibilité et de
votre répulsion instinctive face à la souffrance.
Pour échapper à ce contexte, l’homme cherche à se distraire
dans la frivolité et à se livrer aux plaisirs, à la paresse, à l’ennui,
laissant sans fruit le talent que Dieu lui a confié.
Le péché est commun à tout homme, il affecte toute vie en
profondeur et demeure à l’origine de toutes fautes ou déviations.
Aux fidèles admis au baptême, l’Église n’impose aucune pénitence.
En inaugurant une nouvelle alliance avec Dieu, le baptême
est libérateur du péché, il est lumière divine qui, désormais,
éclaire le baptisé.
Il est vrai que tant que tout va bien et que les désirs de la terre
sont satisfaits, l’homme a tendance à s’endormir dans une aisance
où les célestes pensées demeurent impuissantes à le détacher des
choses matérielles et sensibles....
Mais si à la suite du départ d’un
être cher ou d’une situation difficile, son cœur est anéanti et
écrasé sous le poids de la peine, alors bien souvent il se dégagera
des entraves éphémères, de la durée et de l’espace, pour plonger
ses regards dans la Miséricorde infinie de Dieu, d’où découle tout
rafraîchissement, toute lumière et tout secours.
Ouvrez vos cœurs au souffle vivifiant de l’amour de Dieu.
Acceptez l’épreuve, ainsi vous deviendrez un exemple par votre
manière de vivre et en diffusant la Bonne Parole, ce dont les
hommes ont tant besoin pour prendre la bonne route !
Soyez des
phares d’amour.
Jean, votre messager d'amour"
Page 223 : Le temps presse - Avertissement final – message du 8 mai 2004 - (messages mis sur le site le 11 octobre 2020)
"Si, ces derniers temps, des voix prophétiques se sont levées en
grand nombre, ce n’est
évidemment pas sans raison. C’est pour annoncer, qu’au nom de Dieu, des changements importants, dont vous en ressentez fort les prémices, vont se présenter à vous...
évidemment pas sans raison. C’est pour annoncer, qu’au nom de Dieu, des changements importants, dont vous en ressentez fort les prémices, vont se présenter à vous...
Soyez intimement persuadés que se préparent des événements
difficiles certes, en particulier pour ceux qui vivent dans le péché,
événements qui s’avéreront par la suite totalement merveilleux.
Depuis de très nombreuses générations, les hommes ont abusé
de leur libre arbitre.
Ils ont mal utilisé ce don précieux que Dieu
leur a donné à la naissance.
Le griffu, cet adversaire de Dieu,
infatigable pour faire le mal, utilise les moindres failles.
Il cherche
à semer la confusion dans votre monde par des messages qui, au
premier abord vous paraissent vrais, mais qui, en réalité, sonnent
faux....
Les messages de l’adversaire sont toujours étonnants et
provocateurs.
Pour certains, qui inconsidérément se précipitent
sur le merveilleux, ces défauts passeront inaperçus et les conduiront
dans l’angoisse...
Les messages, venant de Dieu, de la Sainte Vierge Marie, des
saints et de toutes les âmes choisies, seront toujours cohérents et
en accord avec les Saintes Écritures.
Si vous demeurez dans le
droit chemin, d’aucune manière vous ne serez perturbés.
Si tout bébé peut reconnaître entre mille la voix de son père,
vous les chrétiens aussi, avec un tant soit peu de discernement,
vous avez cette capacité de reconnaître la voix de Dieu, qui est
votre Père, ce Papa qui vous aime tant.
Et si vous doutez, priez
et vous serez éclairés.
L’homme, en général, a tendance à abuser des dons dont Dieu
l’a pourvu. Et si ces dons sont mal utilisés, au lieu de le conduire
à la vie, ils risquent de se révéler néfastes et de le précipiter dans
le gouffre de l’enfer.
C’est ainsi qu’à force d’abus et en écoutant
le griffu, l’homme, en sciant la branche sur laquelle il repose, a
fini pour mettre en péril la survie de sa propre planète.
Et à cause
de tous ces abus, la vie sur terre est devenue très difficile, autant
matériellement, physiquement que moralement.
Cet état de fait
ne peut durer.
Une «grande lessive» surviendra.
Le libre arbitre est pourtant un incomparable trésor, une merveilleuse
possibilité qui vous est offerte pour servir Dieu et les
hommes. Les dons de Dieu sont confiés à l’homme pour son
bien-être général, et, s’il s’en sert utilement, les fruits seront
abondants et profitables à la vie et au bonheur de tous.
« Hors de l’Église, point de salut », cette expression s’applique
bien plus aux apostats qu’aux personnes non évangélisées que
vous n’avez aucune raison de déconsidérer.
Car, par rapport à
leurs prochains, elles sont parfois bien plus charitables et attentionnées
que certains chrétiens !
L’Apocalypse vous enseigne ce que sera la société nouvelle.
Elle sera un don de Dieu descendu du Ciel, parée comme une
fiancée pour son époux, et se réalisera dans un environnement si
merveilleux qu’aucun mot n’existe pour le décrire.
Dans cette
cité nouvelle, il n’y aura ni larmes, ni pleurs, ni cris...
Dieu Lui même
sera votre vie et votre joie.
N’oubliez pas que, grâce à l’Esprit Saint, la vie éternelle est à
l’œuvre, particulièrement dans le cœur des baptisés, mais également
dans tous ceux qui sont et demeurent de bonne volonté.
Depuis votre baptême, vous êtes associés à la vie même de la
famille de Dieu. Comme des enfants adoptés, vous participez
aux privilèges de Jésus, qui vous invite à vous asseoir à la table de
famille, inondée de tout l’amour du Père.
Jésus vous dit : «Je vous donne un commandement nouveau :
comme Je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres,
c’est cela qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples.»
Dans toute cellule familiale, dans l’Église, dans la société et dans
tous les pays du monde, si les êtres humains se respectaient et
pardonnaient, avec le sens du service et du partage, en accueillant
les plus démunis, les plus malheureux, l’humanité en
ressentirait le même bonheur que si elle se trouvait à la porte du
paradis...
Votre idéal de chrétiens est de fréquenter une paroisse ou une
communauté, où chacun demeurera attentif à l’autre, où vous
ne vous quitterez pas sans vous saluer, où chacun se sentira
concerné par la qualité des relations entre tous, où ensemble
vous chercherez à témoigner de l’intérêt du Seigneur pour soulager
ce qui fait souffrir votre monde.
Frères et Sœurs dans l’amour, pensez que le temps presse, les
choix décisifs se profilent à l’horizon.
Hâtez-vous de mettre en
application le commandement du Seigneur en L’accueillant sincèrement
au fond de votre cœur.
Jean votre messager d'amour"
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