+ fr. Robert Le Gall, Archevêque de Toulouse
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-19 janvier 2006 -
" En ce qui concerne la question que vous me posez, j'ai jeté un rapide coup d’œil sur le livre. Il me semble qu'il ne contient rien de répréhensible sur le plan doctrinal et je ne vois donc pas d'objection à ce que vous organisiez des rencontres avec ces personnes à la double condition suivante:
1- Vous devez avoir l'accord explicite des curés de paroisse.
2- Il doit être explicitement rappelé que ces rencontres ne préjugent pas de l'authenticité des révélations et ne présument donc pas un jugement positif de l’Église à leur sujet. Je vous remercie de votre confiance et vous salue très cordialement dans le Seigneur.
+ André Mutien Léonard, évêque de Namur
" Vous avez sollicité mon accord avant de demander la location de la salle Pierre de Keriolet au sanctuaire de sainte-Anne d'Auray, en vue d'y organiser une conférence sur la communion des saints animée par Yvette et Robert Carayon. J'ai parcouru le livre que ces derniers ont publié. On ne peut demeurer insensible au témoignage sincère de vie chrétienne et de conversion donné par ce couple. On peut sans doute s'interroger sur le rôle posthume de leur fils Jean confiant à ses parents la mission de faire découvrir l'importance de la communion des saints. Il n'en reste pas moins que le thème est à redécouvrir chez beaucoup de chrétiens, me semble t-il, afin de nourrir leur espérance. Aussi, je ne vois pas d'objection à formuler à votre demande..."
+ François-Mathurin GOURVIÈS, Évêque de VANNES
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Article du Père dominicain Jacques Lauzier, O.P (Ordre des Précheurs - Dominicains du Canada)- 2012 -
" «Bientôt» le Ciel se taira. Plus d’apparitions, plus de messages... Tout ce qui nous restera sera ce que nous aurons emmagasiné dans notre esprit et dans notre cœur. Les livres de Jean sont justement un genre de «cours» pour combler nos lacunes spirituelles. Une sorte de cours de rattrapage, quoi. Mais avec un prof super intéressant. Les inscriptions sont ouvertes !
En mars 2000, j’avais lu le premier tome des messages que Jean Carayon avait donnés à ses parents, Yvette et Robert : Jean Messager de La Lumière. II leur expliquait ce qui arrive immédiatement après la mort. Ce livre s’est vendu par centaines. Des clients en commandent par dizaines... et les distribuent gratuitement autour d’eux. C’est donc que ce livre répond à un besoin. A un urgent besoin, devrais-je ajouter. Le monde a soif de spiritualité et se pose un tas de questions sur la vie... après la vie. Malheureusement il se tourne souvent vers l’ésotérisme et le spiritisme pour combler ce désir. Les vendeurs de «oûijà» font des affaires d’or. Et, la plupart du temps, ceux qui les utilisent deviennent la proie de mauvais esprits et n’ont toujours pas trouvé les réponses à leur questionnement Pourquoi? Parce que le monde préfère se tourner vers les fables plutôt que d’essayer de connaître la saine doctrine que nous enseigne l’Église. Après la mort, il y a trois destinations possibles : le Ciel, le Purgatoire ou l’Enfer. Et, dépendant de la vie que nous avons menée, nous aurons à choisir – nous-mêmes (!) – l’endroit approprié à notre état. Plusieurs rétorqueront que jamais personne n’est revenu, pour nous confirmer tout ça. C’est vrai... et c’est faux ! Personne n’est revenu vivre sur la terre après être décédé. Même Jésus, après sa résurrection, n’y faisait que des «apparitions». Par contre le Ciel a permis a des centaines de défunts de «revenir» à l’occasion, afin de nous livrer des messages et nous enseigner sur ce qui se passe dans l’Au-delà. Pensez seulement à Maria Simma (Les âmes du Purgatoire m’ont dit...) L’étonnant secret des âmes du Purgatoire de sœur Emmanuel, Maria Anna Lindmayr (Mes relations avec les âmes du Purgatoire), sainte Catherine de Gênes et son Traité du Purgatoire, Mirella Pizzioli : Portes ouvertes sur l’au-delà, Jésus Lumière du monde, etc. Et le premier livre des Carayon faisait exactement cela. Leur fils Jean, décédé en décembre 1996, s’était vu confier par le Ciel la mission de nous enseigner sur l’Au-delà : «Papa, pourquoi t’ai je poussé à écrire, vous comprenez bien que votre action sur terre est primordiale. Pourquoi ? Si on écrit, si on parle des âmes du purgatoire, les gens prendront conscience que l’au-delà est si proche de vous et de cette façon ils pourront être sauvés.»
Dans les volumes suivants l’enseignement se poursuit, mais ce n’est plus seulement sur l’Au-delà. II s’étend à toute la sphère de notre vie de chrétien. C’est comme si le Ciel lui avait demandé de nous rappeler les vérités de bases de notre Catéchisme. Bien sûr, il nous parle du Ciel, du Purgatoire et de l’Enfer. Mais il étend ses cours sur Dieu, l’Esprit Saint, Jésus, Marie, les anges, les saints, la Communion des saints, l’Eucharistie, la réconciliation, le rosaire, la famille, l’avortement, la contraception, la Providence, la souffrance, la mort, le suicide, les signes des défunts, les sectes, les athées, les démons, l’arbre généalogique (sa guérison), la réincarnation, les religions, la religion catholique, ouf ! Et, enfin, la fin des temps. Dans les messages de son premier livre, Jean avait à peine effleuré ce dernier sujet si important pour nous, qui voyons littéralement le monde s’écrouler sous nos yeux. Pour nous, qui voyons les signes des temps nous faire plein de clins d’œil. Dans le deuxième livre, il y consacrait tout un chapitre, le dernier, évidemment! Et il nous confirmait ce que tous ceux qui savent lire les signes ont deviné : la fin est proche.
Dans son message du 22 novembre 2000, il dit justement à ses parents : «Un abcès mûrit avant d’éclater. Oui, il est bien mûr, il va bientôt exploser, libérer tout le poison de la haine, de la convoitise, de la jalousie, de l’égoïsme et de tout péché. Et ce sera alors l’avènement du Christ Jésus en pleine gloire.» Le Père, dans sa bonté, veut donner à ses enfants des preuves de son amour. Il ne désire pas notre perte puisqu’Il nous aime ; mais Il ne peut pas nous sauver sans notre permission. C’est pour cela qu’Il essaiera jusqu’à la toute fin de nous inviter à nous tourner vers sa Miséricorde. Comprendrons-nous enfin le message ? "
+ Père Lauzier - O.P.
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Lettre
de Monsieur l’Abbé Georges LAUZIN du Diocèse d’Auch
Le
11 février 2010
"Chers amis en Jésus Christ
Je vous remercie de votre confiance. Votre fils Jean a vécu une vie hors série et généreuse.
Autant que mon surmenage en a permis de lire votre envoi, ses messages se situent dans le droit fil de la foi, et dans le sillage de la Parole de Dieu.
Je ne puis oublier cependant que l’Église n’encourage pas les tentatives de communion avec les morts, qui sont un grand risque. Le message (p.10 en bas) le dit fort bien. Si donc dans votre cas les faits sont bons, dans la paix et l’ouverture au prochain et non dans l’anxiété et la polarisation close, je n’ai pas le droit ni le devoir de vous conseiller, sinon de garder la discrétion sur cette relation intime, car propager ce charisme réservé, il y a bien des risques.
De cœur, en me recommandant à vos prières à tous, pour bien conseiller tant de situations, où l’Église me recommande discernement et prudence."
Père René LAURENTIN
Lettre de Monsieur l’Abbé Georges LAUZIN du Diocèse d’Auch
Le 11 février 2010
" Chers Robert et Yvette,
J’ai lu tous les témoignages de nos amis, lecteurs des Messages de Jean, et pèlerins avec nous pour prier pour les Âmes du Purgatoire – quels bons enseignements, en tout point conformes à la Foi authentique de l’Église !
Dieu a voulu que nous nous rencontrions sans l’avoir prévu, un certain dimanche d’avril 1997, à l’Abbaye Cistercienne de Boulaur, moins de six mois après le décès de Jean. J’ai cru tout de suite à cette relation surnaturelle, au-delà de la mort : la « Communion des Saints ». Et vous avez exprimé le désir de nous revoir, … et cela continue, avec l’accompagnement de vos pèlerinages. Quel chemin parcouru, depuis le premier livre !
Les « messages » sont traduits et diffusés en divers pays d’Europe, au Canada et au Brésil. Vos témoignages et conférences en divers lieux, avec l’accord des prêtres et des Évêques… et votre Archevêque, Msg. Le Gall vous a reçu et encouragé chaleureusement à poursuivre votre mission.
Comment pourrions-nous faire tout cela ? Humainement, ce serait impossible… Mais Jean n’est plus à notre niveau terrestre ; en collaborant à cette œuvre divine, nous sommes, d’une certaine manière, déjà en Dieu, portés par Jean depuis le Ciel.
Nous sommes dépassés, laissons-nous porter. C’est l’œuvre de Dieu, et nous sommes de simples serviteurs, heureux de servir, serviteurs inutiles, puisque nous ne sommes capables de rien…
A Dieu seul, tout honneur et toute gloire : pourvu que nous restions humbles, car nous ne voudrions surtout pas être ceux qui priveraient Dieu de Sa Gloire, en nous l’attribuant à nous-mêmes ; surtout pour cela, jamais ! Mais, louange et action de grâces, avec l’immense joie de servir, avec Jean, uniquement à la plus grande Gloire de Dieu, heureux d’avoir été choisi pour ce service : ramener à Dieu de nombreuses âmes, à leur tour heureuses de cette lumière sur la vie, la mort, et la Vie Éternelle : notre vie et notre mort pour rendre gloire à Dieu, et, à notre tour, transmettre autour de nous la joie de sauver un nombre incalculable d’âmes et rejoindre Jean au Ciel.
+ Abbé Georges Lauzin, directeur spirituel
Dcd en juin 2012
Ce
mardi 26.01.2010.
Bien
cher Robert et Yvette,
Merci
de m’avoir adressé la série des témoignages collectés
essentiellement sur votre site.
S’ils
ne font que confirmer bien d’autres reçus ou entendus au cours de
ces dernières années, et cela dès la parution de la première
édition, comment ne pas rendre grâce à Dieu pour tous ces fruits
manifestes.
Nous
savions que le principal bienfait, que retiraient les lectures des
messages de Jean, concernait l’espérance, l’espérance dans le
deuil, l’espérance de retrouver l’être cher, et donc espérance
en la vie éternelle avec évidemment un regard différent porté sur
la mort.
Mais
pas seulement, de véritables conversions c’est-à-dire de
médicaments de la foi et de son approfondissement impressionnant
par leur caractère d’authenticité, ce que j’ai pu encore
constater ces jours-ci en entendant une personne me dire qu’elle
était retournée à l’église parce qu’elle avait trouvé dans
les livres de Jean la réponse aux principales questions qu’elle se
posait depuis longtemps.
Je
note aussi l’impact de vos conférences dont manifestement vous
êtes les instruments de Dieu, inspirés par Jean, pour évangéliser,
à votre petite échelle, un monde vraiment «éloigné de Dieu.
Si
je rends grâce avec vous pour toutes ces merveilles, dont je suis
avec vous le témoin de la première heure, je n’exprimerai qu’un
regret celui de n’avoir pas connu Jean de son vivant, puisque
manifestement les personnes qui l’avaient rencontré en sont
restées marqués
Bien
fraternellement uni à vous dans cette mission étonnante que le
Seigneur vous a confiée au service de Son Église.
+ Père
Albert.
Je
pense que le moment est peut-être venu d’envisager la mise sur le
Site de quelques-uns uns des messages de Jésus et de Marie que tu
continue de recevoir. Depuis juillet 1999 cela représente une
quantité impressionnante, mais c’est vrai que ces messages vous
concernaient personnellement et qu’il était important d’en
conserver la confidentialité. Je constate que le Seigneur pas plus
que la Vierge Marie, n’est manifesté le souhait qu’ils soient
publiés, sinon occasionnellement laissant l’initiative aux
directeurs spirituels pour des avertissements pouvant intéresser les
lecteurs des messages de Jean.
Peut
être pourrais-tu porter certains d’entre eux à la connaissance de
votre archevêque.
+ Père
Albert, moine
à l’Abbaye d’En-Calcat, Directeur Spirituel - DCD -
15.11.2002
Je
lis avec plaisir ces témoignages du Ciel. Que Dieu est bon de nous
faire ainsi, à la fin des temps, ce cadeau parmi une foule d’autres
signes ! Les pierres parlent et Jésus se choisit des messagers qui
viennent nous révéler (pour notre temps) la réalité du Royaume.
Dites
à Jean que c’est un pieux prêtre qui l’aime fraternellement.
+ Père Eugène.
17.09.2002
Chère
Madame. Cher Monsieur,
Je
vous remercie de votre lettre.
L’admirable
enseignement de l’Église nourrit, avec l’aide des saints, notre
prière par les saintes âmes du purgatoire. Vous avez raison de
prier pour elles. Votre Livre, si émouvant, nous invite à retrouver
en profondeur la tradition de l’Église. Je vous bénis.
+ Monseigneur Henri BRINCARD. Evêque
du PUY.- DCD -
17.01.2001
J’avoue que c’est pour moi une
grâce de vous avoir rencontré. Votre apostolat donné par votre
fils qui est dans la Gloire du Ciel est un cadeau merveilleux.
J’ai
lu les messages de décembre et de janvier à la portée de tous, ils
nous font entrer dans les réalités spirituelles et éternelles ;
plus solides et plus réelles que celles de la terre. Elles sont sur
le roc de l’Église, particulièrement de l’Église triomphante et
souffrante.
Par
Jean, le Seigneur vous comble de bénédictions. Par vous, sont
également comblés de bénédictions ceux qui vous écoutent et
lisent
les
messages de Jean.
Vous
avez eu parfaitement raison de soumettre vos écrits à des
Directeurs Spirituels. Cela est extrêmement important.
Vous
allez vous heurter à des oppositions. Cela est normal. L’évangile
vécu demeure pierre d’achoppement et le demeurera toujours, car
c’est l’inévitable lutte entre le Bien et le Mal.
Gardez
confiance. Vous n’être que les dépositaires de cette richesse
spirituelle qui vous est donné pour être transmises au monde, dans
une époque où les attaques ne viennent pas seulement de
l’extérieur, mais partent de l’intérieur de l’Église. C’est
bien cela qui est le plus douloureux au cœur de Dieu.
Fraternelle
union de prières en Jésus, Marie, Joseph.
+ Père Bernard MARTIN, Chapelain à
Ars-sur-Formans - DCD -
27.08.2000
Lorsque
vous êtes venus à Bordeaux, c’est moi qui suis venu à votre
entretien, à votre témoignage sur Jean, messager de la lumière,
et les âmes du purgatoire.. J’ai confessé et j’ai célébré la
messe.
Pouvez-vous
m’offrir gratuitement le dernier livre « Jean, messager de la
lumière. » En ce moment, je suis très éprouvé et je serais
heureux de lire les messages de Jean. Je prie beaucoup pour les âmes
du purgatoire. Chaque mois il y a une dame qui me demande de dire
neuf messes pour les âmes du purgatoire.
Ce
dimanche après-midi j’ai été avec un ami dans un grand cimetière
de Bordeaux et nous sommes restés deux heures à prier pour les
défunts de ce cimetière, nous avons récité un Rosaire entier.
Union
de prières.
+ Abbé Francis Cappello. Maison Saint Paul.
13.02.1998
Il
y a des visites et des entretiens qu’on ne peut oublier. Le
Seigneur et Notre Dame m’ont permis de partager quelques-unes unes
de vos joies spirituelles.
Bien
entendu j’ai lu attentivement votre brochure que vous avez eu la
gentillesse de m’offrir. Dans quelques pages il y a déjà
beaucoup de sujets traités ou du moins esquissés ou rappelés.
Le
choix des thèmes est encore une autre méthode que le Ciel ou
plutôt « Jean » vous inspire. Dans d’autres textes
inspirés, le message est rigoureusement présenté à la date reçue
in extenso.
Vu
du Ciel, ou même à partir du Vestibule du Paradis ce qui paraît
premier et capital pour les humains est très secondaire.
L’amour
et la vérité retrouvent leur place, et donc la dernière
purification du Purgatoire
Je
ne vous oublie pas auprès de l’Immaculée. Priez aussi pour votre
serviteur.
Avec
mon respectueux respect.
+ Père Jean Lacaze. Chapelain à Lourdes.
24.01.1999
Le
Père Albert m’a fait connaître les messages de Jean, j’ai
apprécié votre livre et je le recommande éventuellement aux
personnes qui souffrent d’une mort donnée dans leur famille.
+ Abbé Pierre LANZA. 06- Asp.
20.05.1997
Chers
amis en Jésus Christ,
Je
vous remercie de votre confiance. Votre fils Jean a vécu une vie
hors série et généreuse.
Autant
que mon surmenage en a permis de lire votre envoi, ses messages se
situent dans le droit fil de la foi, et dans le sillage de la Parole
de Dieu.
Je
ne puis oublier cependant que l’Église n’encourage pas les
tentatives de communion avec les morts, qui sont un grand risque... Le
message (p.10 en bas) le dit fort bien. Si donc dans votre cas les
faits sont bons, dans la paix et l’ouverture au prochain et non
dans l’anxiété et la polarisation close, je n’ai pas le droit
ni le devoir de vous conseiller, si non de garder la discrétion sur
cette relation intime, car propager ce charisme réservé, il y a
bien des risques.
De
cœur, en me recommandant à vos prières à tous, pour bien
conseiller tant de situations, où l’Église me recommande
discernement et prudence.
+ Père René LAURENTIN.