Le Seigneur appelle à l'Espérance ....

Espère en la Divine Providence...

Bien chers amis en Jésus et Marie,
 Tout comme le proclame notre bien-aimé Jean, à travers toutes les tribulations dont nous pouvons être victimes, il est de notre devoir d'espérer et de réagir positivement.
En ce qui concerne la date de la fin des temps, à quoi bon nous en inquiéter car seul Dieu le Père en connaît la date!
Avec toute notre affection et en union de prières
Yvette et Robert

Livre Tome 6 : Pour bien passer la porte du Ciel. 
 Page 198 : Le Seigneur appelle à l’Espérance - Message du 4 juin 2009 -

 " Il faut savoir que pour certaines personnes, le fait de perdre un être cher, d’être touché par une maladie grave, de se retrouver sans emploi ou le fait du comportement d’un de leurs proches, peut fort perturber une raison de vivre. Cette épreuve vient de la perte de la manière d’exister qui a marqué une bonne partie de leur vie. Si la personne ne réagit pas avec efficacité, elle risque de perdre le goût de vivre et de devenir psychologiquement dépendante.
Vous qui quittez une manière d’exister, comprenez bien que la seule façon de retrouver une vraie raison de vivre est de la donner au service des autres...
 Par cette nouvelle raison d'exister, vous annoncerez la Bonne Nouvelle, c’est-à-dire que vous parlerez de Dieu, de Jésus, de Marie, et encouragerez les autres à suivre le Seigneur... 

Il est certain que, pour cela, vous avez à mettre en pratique les dix commandements de Dieu, en vivant dans la vérité.
C’est ainsi que la paix de Dieu emplira votre cœur et celui de votre prochain et, au milieu des tumultes, vous goûterez alors intimement combien le Seigneur est bon.
 En donnant votre temps pour la cause de l’Évangile, ce qui semble un sacrifice à première vue s’estompera et vous y gagnerez en joie de vivre. Reportez-vous à la parabole de celui qui trouve un trésor dans un champ et s’en va joyeusement vendre tout ce qu’il possède pour acheter le champ. Il ne s’apitoie pas sur lui-même en se disant : « Pauvre de moi, je me débarrasse de tout ce que je possède », il pense plutôt à la joie qu’il aura de posséder le trésor.
Et vous aussi, vous posséderez ce trésor en devenant serviteurs !
 Il est certain qu’à travers toutes les annonces de catastrophes, de guerres, de persécutions, vous pouvez vous demander où se situe vraiment la Bonne Nouvelle de l’Évangile. Or, soyez convaincus que l’Évangile est toujours porteur d’une Bonne Nouvelle pour ceux qui restent fidèles à son esprit. Tous les textes, eux-mêmes, de la Bible vous invitent à ne pas vous effrayer de votre avenir !
 Les Évangiles vous précisent bien que, pour la fin des temps, vous n’avez à avoir aucune crainte, mais à faire confiance à la divine Providence. Reportez-vous au premier siècle où la plupart des hommes étaient convaincus d’une fin imminente... Certains en étaient au point de se désintéresser de la vie en ne voulant plus rien faire, attendant le Retour du Christ qu’ils croyaient tout proche...
   Pensez qu’il est prétentieux d’en savoir plus que le Christ lui-même, qui avoue ne pas connaître l’heure de son Retour : « Ce jour et cette heure, nul ne les connaît, ni les anges, ni le Fils, personne sinon le Père et Lui seul.»
 Cette inquiétude du terme final ne doit pas être votre obsession.
Et après tout ! Cela remet les choses à leur place à une époque où le penchant destructeur des hommes pourrait vous faire croire qu’aujourd’hui, comme jamais auparavant, la fin des temps peut être à la portée de l’homme.
C’est un manque flagrant d’espérance d’ignorer que Dieu, par Sa Parole à l’œuvre dans les cœurs, a déjà racheté et sauvé la création et qu’Il continue à la soutenir à travers les tribulations du monde et de l’histoire .....
La vie a déjà et définitivement vaincu la mort, c’est bien à cette espérance que le Seigneur vous appelle et c’est elle qui doit vous engager à coopérer davantage, à la suite du Christ, au salut du monde par l’amour, assistés par son Esprit.
 Le souci, la préoccupation de l’échéance finale de votre monde, ne doit pas vous en détourner, mais vous inviter à vivre intensément le temps présent car cette fin aura bien lieu, elle sera celle de la victoire définitive du Christ sur la mort ; elle est déjà à l’œuvre dans votre monde déjà sauvé et déjà racheté !
 Votre monde aura une fin, mais à quoi bon vous inquiéter de son échéance ? Considérez que le plus grand péril est celui d’être séparé de l’amour de Dieu en doutant de la divine Providence, et donc en doutant de la grâce de votre salut, car Dieu ne vous abandonnera pas.
 Comme il est précisé dans l’Apocalypse : « Il frappe sans cesse à la porte de votre cœur, attendant que vous ouvriez pour vous donner le bonheur éternel. »

 Jean, votre messager d’amour "