Le pardon

Bien chers amis en Jésus et Marie,
Comme le dit si bien notre bien-aimé Jean, il est certain que si le pardon mutuel était pratiqué, ce serait le Paradis sur terre autant dans les familles les communautés, les religions, les nations et donc dans toute l'humanité. Nous aimerions tant avoir de vos bonnes nouvelles !
Avec toute notre affection et en union de prières
Yvette et Robert 

Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes
Page 175 : Le pardon - Extrait du message du 28 septembre 2003 -

C’est Dieu qui pardonne le premier à l’homme. 
Il a l’initiative du pardon, d’un pardon immense, tellement généreux et sans réserve, le tout dans un amour infini à l’image de ce qu’Il est Lui-même : Amour !
Il attend que vous, qui bénéficiez de sa générosité, agissiez de même à l’égard de votre prochain, et qu’à votre tour, vous pardonniez, pas sept fois, comme Pierre qui se croyait généreux, mais soixante-dix-sept fois sept fois, c’est-à-dire sans aucune limite...
Chacun de vous doit pardonner, car si vous refusez le pardon à votre frère, vous entrez dans la chaîne de la vengeance avec toutes ses conséquences tragiques. 
L’homme inflexible qui, par sa dureté de cœur, fait obstruction à la charité, est, dans la création, un adversaire de la communion des saints. Ce faisant, il s’oppose fermement au plan de Dieu. Et c’est à lui-même et surtout aux autres qu’il fait mal en contribuant à rendre inhumaine la société des hommes.
La valeur proprement évangélique du pardon se fait si rare en votre temps ...
Elle est prise souvent pour une injure à la justice ou pour une faiblesse de caractère. En réalité, c’est vraiment tout le contraire !
Le pardon est l’extincteur qui efface la brûlure de l’injustice et le moteur de la réconciliation entre les hommes. Certes, il demande à celui qui pardonne, au même titre qu’à celui qui demande pardon, beaucoup de volonté et une grande force de caractère.
 Si le pardon mutuel était pratiqué, il amènerait le Paradis sur terre, autant dans les communautés, les religions, les nations que pour tous les peuples...
Hélas, vous en êtes bien loin, si l’on en juge à tous ces pays où le pardon n’y est pas admis, et encore moins pratiqué. Chaque partie prétend être du côté du Bien, tandis que l’autre est considéré comme l’adversaire qui incarne les forces du Mal. Tout est ainsi déformé.
Croyez-vous que chacun des antagonistes est en accord avec sa conscience ? Pour sortir de cette impasse, il faut abandonner cette manière de voir et trouver un regard nouveau, celui du Christ, qui vous invite à voir en tout homme, avant tout autre jugement, un être créé à l’image de Dieu. Ce changement de regard et cette conversion du cœur s’imposent à tous, de quelle religion qu’ils soient, à quelle culture qu’ils appartiennent. 
 Sa Sainteté le Pape Jean Paul II a engagé l’Église dans la voie de la repentance. 
Ainsi elle pardonne à tous ceux qui l’ont combattue et reconnaît les torts de ses enfants au cours des siècles passés, en sollicitant publiquement le pardon. Cette démarche étrenne une nouvelle manière d’envisager les relations de l’Église avec les autres Églises. 
 Pour l’avenir de la famille humaine, cet enseignement sur le pardon est de la plus grande importance. N’attendez pas que d’autres le reçoivent et le mettent en pratique en premier !
Commencez dès aujourd’hui, vous qui entendez ou lisez cette sollicitation, comme le Saint-Père vous y invite et comme le Seigneur vous le demande !

Jean messager de la Lumière "