Livre Tome 7 : Pour bien passer la porte du Ciel
pages 231 et 257 : Qu'est ce que la vie – Aider les oubliés – Messages des 3 septembre 2009 et 9 décembre 2009 - (mis sur le site le 8 novembre 2020)
« Jésus a dit : « Je suis venu pour que les hommes aient la vie,
pour qu’ils l’aient en abondance. »
En définitive, qu’est-ce que la
vie ?
La vie est bien l’ensemble de tout ce qui vous arrive.
Il vous
arrive que vous naissez, que vous mourez, que vous donnez la vie
et même que cette vie que vous avez donnée, on vous l’enlève.
Il
vous arrive d’avoir des peines, des misères, des tristesses et aussi
des joies ;
il vous arrive d’être heureux et il vous arrive d’être malheureux....
Vous connaissez des réussites, mais également des
échecs, il vous arrive de rencontrer des gens fidèles, mais également
d’être déçus et trahis.
La vie peut être aussi belle que difficile.
Souvent, il arrive que
vous ne puissiez pas accepter ni comprendre ce qui vous arrive.
Oui tout arrive, ou du moins tout peut arriver ; c’est la vie !
Et
vous vivez.
Sur terre, tous les hommes souffrent et cette souffrance
acceptée les purifiera et même les rendra plus forts.
Quand Jésus dit qu’Il est venu pour que les hommes aient la
vie et pour qu’ils l’aient en abondance, Il ne parle pas seulement
de la vie biologique, mais de la vie de Dieu qui est vie de l’Esprit
Saint, que Dieu vous communique par Jésus.
En donnant
l’exemple, Jésus est venu pour montrer aux hommes une nouvelle
manière de vivre qui est conforme à l’image de Dieu.
Pour être mieux compris, Jésus s’est exprimé en paraboles.
Ainsi, en mettant en valeur la vie du quotidien, la parabole
surprend
et encourage l’auditeur à approfondir le récit.
Jésus a employé
de nombreuses paraboles qui demeurent toujours d’actualité.
Par exemple dans la parabole du bon Pasteur, Jésus développe
deux sujets importants : celui de la porte et celui de la voix.
Ce qui veut dire que, pour entrer dans la bergerie, donc dans le
Royaume, il est essentiel d’accepter, d’entendre et d’entrer ; or il
n’y a qu’une porte et cette porte est Jésus qui est le passage obligé :
« Je suis la porte des brebis » et même Il confirme en disant :
« Je suis le chemin, la vérité et la vie.»
Oui, Jésus est la vie, et le
chemin qui y conduit.
Il est le vrai Berger, le bon Pasteur qui
conduit à la vraie Vie.
Dans ceux que Jésus traite de voleurs, il y a ceux qui cherchent
à détourner les brebis, il y a les sectes et leurs dirigeants qui sont
des manipulateurs et des escrocs. Ils s’attaquent aux hommes et
aux femmes qui sont en recherche ou en plein désarroi spirituel
ou psychologique. Ces sectes se disent souvent chrétiennes et
ont des adeptes, cela pour la seule raison qu’elles savent bien
gérer le côté émotionnel.
Il est certain qu’en constatant le vide, la futilité, la légèreté des
manières de vivre du monde, des hommes recherchent une spiritualité
authentique qui donne un sens à leur vie.
L’Esprit Saint
est au plus intime d’eux-mêmes et, par cette intériorité, ils rencontreront
Jésus et Le suivront, car Jésus est le vrai Berger; d’ailleurs
par Sa vie, Il leur a dévoilé l’amour du Père en mourant
pour eux.
Donner la vie, ce n’est pas seulement donner naissance biologiquement,
c’est également permettre de vivre, aider à vivre.
S’il
en est ainsi, vous devez aider et encourager tous ceux qui œuvrent
et luttent pour indiquer le bon chemin, sauver la vie, pour la
protéger et pour qu’elle soit respectée.
Donner la vie, c’est aider à vivre, c’est permettre à l’autre de
vivre, en donnant l’exemple et en le guidant.
Le Christ vous invite à être de bons bergers. Le berger est celui
qui guide, qui conduit. Jésus vous demande d’être ce bon Berger
pour vos familles et pour tous ceux qui vous environnent et que
vous pouvez aider....
Jean, votre messager d’amour »
Aider les oubliés ...
Dans ces cas, une multitude d’hommes
est concernée, à savoir tous ceux qui vivent dans des conditions
de vie matérielles et spirituelles épouvantables et en particulier
des enfants, femmes et hommes qui meurent à cause du manque
de nourriture...
Plus proches de vous, des personnes âgées qui vivent en maisons
de retraite sont délaissées par leurs familles et c’est ainsi
qu’elles subissent une solitude grave qui les humilie et leur fait
perdre toute capacité de communiquer. Ce qui est encore plus
pénible ce sont les personnes qui ont à soutenir des personnes
handicapées, jeunes ou âgées, et en particulier des enfants, et
dont tout l’environnement familial s’en trouve perturbé....
Dans ces conditions, les non-croyants, surtout, s’interrogent ils ?
Pourquoi sont-ils sur terre si ce n’est seulement pour souffrir ?
Pour ceux qui ont la grâce d’être chrétiens, il est certain que
leur foi ne les épargne ni de la souffrance ni de la mort.
Cependant, la foi au Christ les soutient, aiguise le sens des responsabilités
à l’égard d’un monde où beaucoup de choses
tournent dans le mauvais sens.
Quand ils sont au pied de la
croix, leur espérance leur accorde ce supplément d’âme dont
ils ont tant besoin.
Quand le mal abonde, il faut que la charité
surabonde.
Vous qui lisez ces lignes, vous êtes peut-être concernés par une
de ces formes de souffrance qui vous poussent à vous enfermer
dans la solitude, par un de ces problèmes qui sont difficiles, si ce
n’est impossible de partager.
Pensez aux enfants handicapés qui ont bien plus que d’autres
la capacité de faire la découverte du divin, tandis que bien des
hommes dits «normaux» ne prennent pas les moyens de rencontrer
Dieu, qui pourtant incessamment leur demande d’entrer
dans leurs cœurs.
Sur votre terre, les prophètes de tout temps n’ont cessé de
vous dire que ce qui est fondamental dans votre vie, c’est la manière
selon laquelle vous êtes en relation les uns avec les autres.
C’est à l’intérieur de cette manière d’être ensemble et dans
l’amour du prochain, que peuvent être traités les cas les plus
difficiles.
Il est inconcevable qu’une personne âgée ou un enfant handicapé
soit abandonné comme s’il n’avait aucun ami, ni famille,
comme s’il était seul à supporter sa solitude.
C’est pourquoi
votre responsabilité devrait vous inciter à penser au bonheur et
à l’avenir de chaque être humain, cela à partir des relations qui
vous demandent de vivre ensemble.
Qui que vous soyez, vous n’avez pas à abandonner la santé
physique ou morale aux seuls spécialistes, mais à agir personnellement,
en faisant de la santé de votre prochain votre spécialité
commune.
C’est à vous de donner tout votre amour aux autres,
donc de les soutenir et de les aider à porter ce qu’ils ont de souffrance
dans leur corps, dans leur tête et parfois dans leur cœur...
Jean, votre messager d’amour »
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