La joie et la tristesse - 1er octobre 2011 -

Bien chers amis en Jésus et Marie,
Ce message a été remis aux personnes qui ont assisté à la conférence donnée le samedi 1er octobre à Limoges.
Nous vous en souhaitons bonne réception.
Avec toute notre affection et en union de prières.
Yvette et Robert

"Mes bien aimés frères et sœurs,

La Bible parle souvent de la joie. Il y a les joies spirituelles, mais également dans votre existence, une quantité de bonnes joies. Vous avez de vraies occasions de bonne joie dans les progrès que vous pouvez réaliser. La plus grande joie est de participer au progrès des autres, car alors, vous serez comparables à un ange qui porte dans leurs cœurs, quelque chose de cette force de vie qu’est Dieu.

Il y a la joie due à la présence de Dieu. Et vous avez également la joie de vous sentir connu, accepté, aimé et accompagné. Quand vous ressentez que vous n’êtes pas seul.

Vous n’avez pas à refuser les joies de l'existence, ces petits plaisirs, la Bible n'est pas du genre à les mépriser. Partez du principe que les grandes, tout comme les petites joies sont des bénédictions de Dieu. Vous n’avez pas à vous détourner des joies saines de votre monde car Dieu aime la vie. Oui, les joies et même les joies les plus simples sont des cadeaux de Dieu.

Dans l’Évangile, la joie à une bonne place, non pas en quantité mais en qualité. Cette joie s’est manifestée à un moment vraiment important de la vie de Jésus : quand les bergers accueillent la naissance de Jésus entouré de Marie et de Joseph, à la Résurrection, à l'Ascension quand les disciples découvrent que le Christ est présent d’une autre manière. Il y aura aussi la joie des disciples à la Pentecôte quand l'Esprit Saint les fera membres d'un corps dont le Christ est la tête.

Êtes-vous vraiment et réellement joyeux ? Il est certain que vous ne pouvez rire au chevet d'un malade, d'un mourant, comment pourriez-vous être joyeux quand des frères et sœurs meurent de faim, sont torturés et exécutés, quand des enfants sont maltraités, quand ils se droguent, et si souvent, des grands-parents abandonnés. Comment pouvez-vous rire, quand vos proches souffrent, quand une personne a perdu son emploi. Même avec la joie de vous sentir sauvé, vous ne pouvez avoir toujours le cœur à rire et cela est justice.

Le but de tout homme, tout comme les animaux est d’être joyeux, heureux de n’avoir aucun problème. Cet espoir est logique, car vous désirez tous, ne pas souffrir, préférer de bons et succulents mets à une mauvaise nourriture ; préférer être en bonne santé ; préférer être entouré de ceux que vous aimez et les voir eux-mêmes heureux et en forme.

La tristesse doit vous inciter à bien réagir, à creuser votre soif de mieux situer les évènements, de mieux aimer, de trouver le geste qui fera avancer les choses, la parole qui va sonner juste. Tout cela dans la mobilisation de vos qualités propres, et à une ouverture à Dieu. Cette consolation est intérieure, par l’Esprit, mais elle peut passer aussi par votre conjoint, votre famille, par un ami. La tristesse peut être aussi une indignation contre ce qui ne va pas, une indignation qui n’est pas contre certaines personnes mais contre certains comportements, contre certaines situations.

Une sainte tristesse peut-être une repentance, des regrets, mais surtout une conversion, une réorientation du regard, un désir d’avancer. Une tristesse selon Dieu qui ouvre à un cheminement.

Le projet de Dieu, est que vous viviez en vérité, avec sincérité, debout, les yeux grands ouverts, le cœur ouvert, l’intelligence ouverte elle aussi. Vous avez à vivre dans la joie, la vivre bien en profondeur, donc tout voir positivement et pas seulement à la surface de la vie.

Avec toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père Éternel, je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Jean, votre messager d’Espérance"

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