La maladie est sanctifiante !

Les fêtes de La Toussaint approchent … Et si nous prenions le temps d'offrir nos douleurs, nos soucis, nos souffrances ... pour nos ancêtres et prier pour eux …. sans oublier les âmes en purgatoire !

Livre Tome 4 : Chapitre 9 Généalogie 
Page 208 : La maladie est sanctifiante – message du 06 juillet 2004 (mis sur le site le 13octobre 2019) 

" Il faut admettre que la maladie est sanctifiante, même si elle vous rend maussades. Si l’homme est fait pour la joie, il est aussi appelé à faire l’expérience de la souffrance et de la maladie...
La souffrance, qu’elle soit physique ou mentale, demeure un mal, même si elle peut aussi révéler un aspect positif, quand l’homme l’accepte ! Ainsi se confirme la fidélité des hommes en  
Jésus-Christ, elle répare la justice violée par le péché, mais également elle est le moteur qui engage tout pécheur à se corriger et à marcher sur les chemins de la conversion. Même si le malade accepte la volonté de Dieu, il n’en cherchera pas moins à obtenir la guérison.
Ce désir est humain et même louable s’il se traduit par une prière confiante adressée à Dieu. 
Au cours de vos pèlerinages, le prêtre, systématiquement, procède à la cérémonie des enfants non-nés et également au sacrement des malades, ce qui a, pour chacun de vous, une importance capitale, même si vous ne vous sentez pas souffrants.
Le prêtre qui officie utilise le Saint Chrême, huile qui pénètre jusqu’au cœur de vos entrailles. 
Ce sacrement vous touchera au plus profond de vous-mêmes, dans la totalité de votre personne et de tous ceux qui vous sont chers, car c’est la présence du Christ qui se manifeste dans votre personne.
Actuellement, quand les hommes ont un problème de santé physique ou morale, que les médecins, psychiatres ou psychologues ne peuvent résoudre, ils se tournent vers des individus qui se disent voyants, guérisseurs ou magnétiseurs, et qui, en règle générale, se font payer assez cher !
Dans un premier temps, ils éprouvent un soulagement de leurs souffrances....
Mais ensuite ils plongent souvent dans un profond désespoir !
Vous qui êtes chrétiens, votre devoir est de considérer l’Eucharistie offerte à l’intention des générations précédentes, de même que les prières de guérison, le baptême des enfants non-nés, ou encore le sacrement des malades comme des remèdes bien plus efficaces, cela autant pour l’esprit que pour le corps. 
Vous avez souvent remarqué que, lorsqu’une personne tombe malade ou qu’un malheur arrive dans une famille, il est courant d’entendre : «Mais qu’ai-je fait au bon Dieu ?»
Si on ouvrait la Bible, on constaterait qu’il n’est mentionné nulle part que la création fut parfaite. Elle est dite seulement bonne. La perfection dépendra d’un état final auquel vous-mêmes et tous vos ancêtres n’aurez pas participé. Si la création avait été parfaite, il aurait suffi de la subir et vous n’auriez pas eu le libre arbitre, mais simplement à accepter un idéal.
L’homme a bien le libre arbitre.
Il doit choisir entre le bien et le mal.
Le péché relève donc de sa conscience, de sa volonté et de sa liberté d’homme.
Hélas, cela ne l’empêche pas de réaliser le mal, notamment en tuant, en violant et en volant, en un mot, en faisant le jeu du griffu....
Il peut également être victime de malheurs qu’il ne peut éviter.
Ce sont les tremblements de terre, les accidents sous toutes les formes ou les maladies qui surviennent sans qu’il n’y puisse rien.
Dans les difficultés, qu’elles soient de la faute des hommes, des maladies ou des accidents, l’être humain peut éprouver des sentiments de révolte ou avoir des réactions parfois inconsidérées qui mettent sa foi à rude épreuve !
Qui ne connaît pas des personnes qui, révoltées suite au décès par accident ou par maladie d’un membre de leur famille ou d’un ami, ont abandonné l’Eglise. A l’inverse, vous trouverez également des malades confinés dans une résignation et une passivité qui affligent aussi bien leur entourage que le corps médical.
Ces attitudes ne conviennent pas à un authentique croyant.
Mais le face-à-face avec la mort ou avec la maladie grave sera toujours un moment difficile pour la foi.
Comment allez-vous réagir ?
Il faut que le Christ vienne en vous vivre son agonie. 
Ainsi, le Christ qui connaît votre inconstance, votre vulnérabilité, viendra en vous, vous offrir son acte d’offrande. Le fait que le prêtre donne le sacrement des malades au moment qui se présente, surtout quand la vie est en péril, atteste que toute vie est faite pour être consacrée à Dieu, au sein du corps du Christ qu’est l’Église.
A ce moment-là, vous pouvez dire la phrase qui a été prononcée sur vous au moment de votre baptême : «Tu es prêtre, prophète et roi

Jean, messager de La Lumière " 

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Prière aux saintes âmes du purgatoire
"O saintes âmes du purgatoire, j’ai tant besoin de votre amour. Soulagez-moi de mes si lourds bagages pour que, dans la confiance et l’abandon, avec une âme offerte en sacrifice d’amour, je propage votre mémoire, afin que de plus en plus de monde fasse appel à vous.
Par toutes mes offrandes et mes actions, j’implore le Père, le Fils et le Saint-Esprit, de même que la Très Sainte Vierge Marie, de pardonner vos péchés et de vous libérer de vos chaînes, afin que vous puissiez retrouver, dans la lumière, vos parents et amis à la table du Seigneur. Amen. "
 (Reçu le 10 février 2001)

1 commentaire:

Unknown a dit…

OUI, prions pour nos amies les àmes du purgatoire,elles attendent beaucoup de nous et elles ont tant à nous donner. J'en ai fait l'expérience et je les considère comme mes soeurs.

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