Faire le bien profite à ses ancêtres

"Robert, Jean qui êtes près de Jésus et Marie, priez pour nous en ce jour de Miséricorde Divine ...."

Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes
Pages 205 à 208 : Faire le bien profite à ses ancêtres – Message du 28 avril 2004 - (mis sur le site le 19 avril 2020)

 « Si vous priez Dieu, sans arrière-pensée et avec une noble intention, Il vous répondra.
Cette réponse peut parfois prendre du temps, mais, incontestablement, elle éclairera votre vie. Dans votre existence, vous êtes confrontés à des situations tellement difficiles, que, plutôt que d’y faire face, vous avez tendance à abandonner.
Mais Dieu est là !
Vous êtes ses enfants et Il est tout près de vous. Ne l’écartez donc pas. Et s’il y a certaines personnes qui se montrent septiques, qu’elles fassent l’expérience de prier Dieu et elles verront !
Vous savez bien que les épreuves font partie de la condition humaine. La Bible est pleine de récits d’épreuves subies par les hommes. Souvenez-vous, par exemple, de Job souffrant sur son fumier ou de Marie au pied de la croix.... Et c’est souvent dans la solitude que l’épreuve est vécue.
Pourtant, chaque fois, Dieu vient au secours de l’homme éprouvé.
Il entend ses souffrances et soulage sa douleur.
Le temps où vous pouviez vivre en toute sécurité est si lointain...
Actuellement, c’est la violence, les guerres, la drogue, le sexe et, attisée par les médias, une attirance pour tout ce qui est néfaste à l’esprit, qui dominent votre vie. 
Soyez donc vigilants et préservez les vôtres et tous ceux qui vous sont chers.
Dans ce monde à l’envers, tous vos actes sont remis en question, même un simple bonjour ou un sourire qui pourtant ne coûte rien. Pour beaucoup il est devenu difficile d’exprimer un merci à une main qui leur est tendue !
Mais, en bons chrétiens que vous êtes, personne ne vous enlèvera, ni ne vous dictera une conduite à tenir, parce qu’il est naturel, chez vous d’aller en direction du bien.
On peut tout vous prendre, sauf la bonne éducation que vos parents vous ont donnée.
Bien sûr, il y a eu l’école, les études secondaires et même supérieures, les fiançailles, le mariage et toutes les personnes qui vous ont aidés à suivre le bon chemin ....
Ce bon chemin, vous le montrez également à vos enfants. Et s’ils doivent aujourd’hui assumer leurs responsabilités, vous, les parents, vous êtes encore là pour leur donner un «coup de main».
Votre guérison physique, morale ou spirituelle se réalisera toujours par la Foi.
Jésus n’est-Il pas le premier médecin ayant reçu du Père les pouvoirs de guérison ?
Si une personne adulte ou un enfant est malade, il faut considérer que c’est le plan de Dieu, car à travers cette maladie peut se révéler un témoignage très fort ...
Et il faut surtout vous dire une chose : Dieu répond en son temps. 
Il est vrai qu’en tant qu’hommes vous êtes plutôt impatients !
Mais sachez que le Seigneur pourvoit toujours aux besoins de ceux qu’Il aime.
Le Seigneur guérit chacun de vous, un peu chaque jour, en vous donnant la Paix, l’Espérance et même sa Joie d’être guéris.
Tout cela vous pouvez l’éprouver au quotidien.
Dans le cadre de la Communion des Saints, la prière, et plus encore la messe à l’intention d’un défunt, est toujours importante, autant pour lui que pour votre guérison physique, morale ou spirituelle.
Il arrive parfois que, lors d’un effort considérable, d’une grippe, d’un changement climatique, vous ressentez bien des contractures, des douleurs, qui se situent dans des lieux de mémoires traumatiques. Ces lieux de mémoires sont constitués par les parties du corps qui ont subi une agression. Cette mémoire du corps est comparable à la mémoire traumatique de vos généalogies, que vous pouvez ressentir et qui parfois peuvent même vous déstabiliser ...
Votre Salut, tout comme le Salut de vos ancêtres, passe aussi par ce que vous faites pour vous et pour eux. 
Par le chemin de la généalogie, vous partez à leur rencontre pour les laver de leurs péchés, afin de leur donner toute la transparence, qui leur ouvrira la porte du paradis. La mémoire d’amour de vos ascendants existe tout comme celle de leurs maladies. Par votre foi en Jésus-Christ, vous avez cette merveilleuse possibilité d’agir réellement sur la mémoire de votre généalogie, et d’espérer améliorer la guérison de votre propre mémoire.
La communion d’amour, vivifiée par votre démarche d’affection et de pardon, a la capacité d’établir l’harmonie et ainsi d’agir efficacement pour la guérison des mémoires de votre arbre généalogique. Votre rôle d’héritier est celui d’un artisan d’amour et de paix qui, œuvrant pour votre propre sanctification, ouvre la porte du paradis à tous ceux qui sont de l’autre côté de la rive. 
Il est fréquent que la santé d’une personne influence étroitement l’atmosphère qui règne dans la famille. Aussi faut-il prier également pour la guérison de la personne qui souffre et perturbe les relations entre grands-parents, parents et enfants. Et il est essentiel également de prier pour les ancêtres, qui peuvent influencer négativement cette personne !
Dans le sacrement des malades, que vous allez recevoir lors de votre prochain pèlerinage, votre guérison sera demandée par le prêtre et sollicitée au nom de Jésus.
Le sacrement des malades a pour fin première et principale d’accéder immédiatement à la grâce de l’Esprit Saint, dont l’onction purifie le malade de ses fautes, soulage l’âme et la réconforte, en permettant également de retrouver la santé du corps. 
Un retour à la santé physique peut suivre dès la réception de ce sacrement, si cela est favorable au salut du malade. Le sacrement, dans certaines nécessités, apporte aussi le pardon des péchés.
Dans ce sacrement, il y a une répercussion très positive sur vos ancêtres. 
Sa célébration montre toute la tendresse de Jésus pour ses frères malades, âgés ou mourants. Par le sacrement des malades, vous recevez la force de supporter votre épreuve et l’assurance de la vivre avec le Christ près de vous.

Jean messager de La Lumière »

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Pèlerinages Saint Curé d’Ars et Marthe Robin, le 17.11.04

"Chers pèlerins, frères et sœurs dans l’Amour,
Pour participer à ce pèlerinage auprès de Marthe Robin et du Saint Curé d’Ars, soyez persuadés que c’est plus ou moins consciemment que vous avez répondu à l’appel de vos parents et amis qui sont passés de l’autre côté de la rive.
Nous sommes vos enfants, nous sommes votre papa ou votre maman, nous sommes vos grands ou arrière-grands-parents, nous sommes vos ancêtres plus ou moins éloignés, que vous n’avez pu connaître et dont peut-être vous avez entendu parler. Ce sont également les tout-petits, qui, au fil des générations, ont été éliminés et privés de vie sur votre terre, bien souvent, sans y être baptisés.
Par votre amour manifesté en souvenir de tous vos parents et amis de l’invisible, par les messes célébrées en leur faveur, par vos ferventes prières et vos rosaires, animés avec tant d’amour par ce prêtre qui, malgré sa fatigue, vous a si bien guidés, vous leur avez facilité l’accès aux lumières du paradis.
C’est par votre sensibilité à notre souvenir que nous rayonnons pleinement en vos cœurs, pour vous communiquer tout notre amour. Tous, nous sommes près de vous et vous parlons. Tout amour grandira en approfondissant et en dépassant les sentiments négatifs et particulièrement le manque de pardon, ce cancer si destructeur.
Faites d’incessants efforts pour dépasser le manque que représente notre absence physique et vous nous ressentirez encore plus, car nous faisons partie de vous-mêmes en nous situant au plus profond de votre être, de votre âme.
Vous quitterez un jour la terre de pèlerinage pour nous rejoindre et pour vous retrouver à la table du Seigneur dans une éternité merveilleuse, extraordinaire et fantastique, cela dans un amour que vous ne pouvez imaginer.
Si le doute persiste dans le cœur de quelques pèlerins, ils ne peuvent ignorer que mourir est la loi de l’Univers. Alors sera aussi levée pour eux l’éclipse qui cache la gloire du Christ ressuscité.
Au cours de ce pèlerinage, effectué sous le regard bienveillant de Marthe et du Saint Curé d’Ars, vous avez ressenti, au plus intime de votre être, un grand bonheur intérieur. Sachez que vous avez deux foyers, un sur votre terre et l’autre au Ciel. Vous êtes aimés dans ces deux foyers et plus particulièrement dans celui que vous connaîtrez un jour dans le Royaume des Cieux.
Pour chacun de vous, les charismes sont différents mais non opposés. Ouvrez bien les yeux de l’âme pour faire un meilleur usage de vos qualités les plus profondes. Pour cela, corrigez vos défauts et vos défaillances en vous ouvrant à l’Amour de Dieu et aux Commandements. Vous deviendrez alors des phares qui éclaireront spirituellement votre entourage et les rencontres que la Providence poussera sur votre route.
Un bon sportif s’entraîne pour gagner des compétitions. De même, entraînez-vous avec plus d’assiduité à la prière fervente. Votre ascension dans la voie royale en sera facilitée.
Vous avez si bien participé, avec tout votre cœur rempli d’amour, à la cérémonie du baptême d’une multitude d’enfants non-nés. Vous avez créé ainsi tant de bonheur au Ciel et sur la terre.
Au cours de la cérémonie de l’onction des malades, vous avez prié pour vos parents et vos enfants, pour vous-mêmes et pour nous qui sommes dans l’au-delà. Toutes ces prières et eucharisties nous aident à progresser, nous qui sommes dans l’au-delà des mendiants d’amour, tellement nombreux à vous implorer.
C’est cela la Communion des Saints. L’avez-vous bien compris ?
Certains parmi vous ont eu déjà des grâces et, pour les autres, si votre cœur déborde d’amour, vos souhaits, requêtes et sollicitations seront comblés.
Que ce pèlerinage vous transforme tous en vrais serviteurs, qui ne se placent jamais en avant, mais préfèrent servir dans l’effacement, car vous ne servez pas pour être appréciés par les autres, mais seulement pour chercher à plaire à Dieu.
Notre Seigneur Jésus et sa si douce maman, la Sainte Vierge Marie, et nous, saints et saintes du Ciel, nous vous remercions pour toute cette multitude d’âmes, dont nous-mêmes, qui avons rejoint la lumière de Dieu.
Nous vous bénissons au nom du Père, du Fils et du Saint- Esprit.
Tous vos frères dans la vérité et Jean, votre messager d’amour "

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