Livre Tome 2 : La communion des saints
Page 31 : Jésus – messages de 2000 – (mis sur le site le 26 avril 2020)
" Par l’Ascension de Notre Seigneur Jésus-Christ, c’est la grande promesse qui s’est accomplie. Jésus, Fils de Dieu, est venu parmi les hommes pour remonter auprès de Son Père.
Jésus s’est élevé au-dessus de votre monde, non seulement pour mieux vous voir mais encore pour que vous Le ressentiez mieux. Par Son retour auprès du Père, Il ne vous a pas quittés, au contraire, Il est encore plus présent par la force de l’Esprit qu’Il a envoyé à Ses apôtres et à Sa sainte Maman, sous une forme réelle. Le Saint-Esprit n’insiste pas auprès de ceux qui l’ignorent et qui sont pleinement conscients de cela. Vous chrétiens, vous avez reçu la grâce d’avoir l’Esprit en héritage du Fils qui est remonté auprès du Père. (31.05.2000)
Avec les apôtres, Jésus a vécu un amour fraternel, tout particulièrement avec l’apôtre Jean.
C’est uniquement l’amour fraternel qui constitue une relation réelle entre les idéaux respectifs des amis. Il est important que tout puisse aboutir à une admiration réciproque pour des qualités souvent différentes mais si complémentaires...
De plus, il est nécessaire qu’existent une patience à toute épreuve envers les défauts de chacun et un désir sincère d’aider l’autre à acquérir la perfection.
Tout cela doit se réaliser par la gentillesse, le dévouement, la douceur et une grande tendresse !
Si vous voulez suivre le Christ, si vous voulez qu’Il pénètre dans votre cœur, c’est peu à peu qu’Il y entrera..... Cela ne se fait pas en un seul jour ! (13.09.2000)
Lisez et imprégnez-vous de la Bible et même de l’Imitation de Jésus-Christ.
Il vous appartient d’imiter au mieux les vertus du Sauveur qui a souffert, non seulement pour le rachat de vos péchés mais encore mieux, pour vous donner un exemple, ce qui devrait vous inciter à marcher sur ses traces.
Recevez avec patience, douceur et reconnaissance ce qui vous blesse et vous fait souffrir, en essayant de contempler un Dieu crucifié pour vous par amour ; si votre méditation est bien réelle, elle vous fera mieux comprendre la souffrance et vous portera à l’aimer.
Pensez que Jésus, pénétré de la grandeur infinie et inconcevable du Ciel, que vous êtes si loin d’imaginer, a vécu les choses de la terre avec tant d’intensité !
Ces choses de la terre, créées par son
Père, sont insignifiantes en comparaison des fabuleuses merveilles
de l’éternité.Pensez qu’Il a été soumis aux traitements les plus indignes de la part des hommes, desquels Il n’a reçu qu’infidélités et injures.
Pensez que Dieu a demandé au Christ de souffrir les coups, les crachats, les blasphèmes, le fouet, les épines et la croix.
Oui, Jésus s’est abandonné sans retenue, avec sa chair toute innocente, comme une proie livrée aux hommes pervers et aux démons de l’enfer, libres d’abuser de Lui à leur gré.
Et maintenant, regardez votre Jésus sur cette misérable Croix, tournant vers vous des regards de miséricorde, pensez qu’Il vous regarde avec des yeux compatissants pleins de larmes, cherchant votre consolation.
Ce soir, en récitant les mystères douloureux, imprégnez-vous de cet amour et estimez votre croix très légère. Pouvez-vous imaginer toute la grandeur de ces tourments et de cette ignominie infligée au Roi de gloire en personne, le Christ vrai Dieu et vrai Homme, qu’on ne ferait pas subir au dernier des mécréants !
Tous, vous affrontez des adversités, n’oubliez pas que Dieu vous aime, considérez ces souffrances comme des présents...
A ceux qu’Il aime le plus, Il en donne plus et à ceux qui sont moins méritants Il en donne moins ; c’est proportionnel à l’amour que vous Lui portez.
Pensez et méditez tout cela dans votre rosaire du mercredi. (24.05.2000)
Regardez la vie de Jésus, l’Envoyé de Dieu, le Fils modèle qui tout au long de Sa vie sur terre a prié et imploré Son Père.
Tous les hommes devraient prier les uns pour les autres, pour la paix dans le monde et principalement pour les âmes de leurs frères qui sont au purgatoire.
Le Seigneur, qui n’attend que vos prières, exaucera vos requêtes.
Vous n’avez pas à accorder trop d’importance à votre propre
personne dans les demandes que vous formulez, sachant que
ceux qui vous aiment le font pour vous. Vous devez le dire à ceux qui sont allergiques à la prière et qui considèrent que c’est le cri des faibles et des attardés.
Sur votre terre, je priais discrètement très souvent, pour soigner, en demandant de l’aide à Notre Seigneur et à sa si douce Maman. (19.09.2000)
Jean, messager de La Lumière "
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